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Description archivistique
Service central des Archives de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP)
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Fonds iconographiques de l'AP-HP

  • série FI
  • Série
  • Vers 1970-1998

Cette série réunit l'ensemble des documents iconographiques conservés au service des archives de l'AP-HP. C'est une série composite, regroupant des documents de formats et supports variés - photographies, cartes postales, plans, affiches, plaques de verre, images numériques... - quel que soit le statut juridique des documents, public ou privé.
Les règles de cotation au sein de cette série ont évolué au fil du temps et des différents versements. Avant d'opter pour une cotation FI en continu, on a d'abord opté pour une cotation par type de support et par provenance : plans (1/FI), planches anatomiques (2/FI) ; iconographie des hôpitaux : plaques de verre (3/FI/1), photographies (3/FI/4), cartes postales (3/FI/5) ; fonds de particuliers (7/FI)...
À partir de la sous-série 14/FI, le numéro de sous-série est purement incrémentiel. Une reprise des instruments de recherche est actuellement en cours.

Iconographie des établissements de l'AP-HP

Ces albums offrent un panorama des établissements gérés par l'Assistance publique en 1912. Ils regroupent différents types de documents iconographiques tels que des plans, des photographies, des cartes postales, des gravures, ainsi que des documents écrits imprimés (coupures de presse, articles tirés à part). Ils constituent une source iconographique très riche en particulier sur l'implantation géographique, la configuration et l'architecture des lieux.
Les cartes postales sont particulièrement nombreuses dans ces albums. L'âge d'or de la carte postale se situe dans les années 1900 à 1920, et plus particulièrement pendant la Première Guerre mondiale qui voit les autorités militaires encourager son utilisation, permettant de cette façon de faciliter le travail de la censure et de véhiculer des dessins patriotiques. La carte postale devient ainsi un outil de propagande et un outil au service de la guerre de l'information. Certains éditeurs français ont l'idée de lancer des collections de cartes artistiques. Le coloriste Émile Greningaire publie par exemple en 1901 la Collection des cent, aujourd'hui très recherchée. La carte postale, en tant qu'outil de communication, circule par millions dans le monde entier. Si à l'origine, c'est un document presque exclusivement postal, imprimé par l'administration, des photographes, profitant des nouvelles avancées techniques, vendent leur production à une clientèle aisée sur les principaux lieux touristiques. La carte postale va ainsi aider la photographie à se diffuser à travers le monde et dans toutes les couches de la société.
Les éditeurs de cartes postales foisonnent au début du XXe siècle. Dans les albums décrits dans cet inventaire, les principaux sont :
l'Assistance publique désignée par la mention "A. P.". L'administration était son propre éditeur de cartes postales pour illustrer ses établissements et ses activités hospitalières ;
Ernest Le Deley désigné par les initiales "E L D", éditeur de rayonnement national basé à Paris, 127 boulevard de Sébastopol ;
Neurdein désigné par la mention "ND. Phot", éditeur à Paris, de rayonnement national. Après la Première Guerre mondiale, il s'associa à l'éditeur Lévy, installé 38, boulevard de Strasbourg, Paris- Fernand Fleury désigné par les initiales "F F", imprimeur et éditeur à Paris, 43 avenue de la République ;
Léon & Lévy désigné par les initiales "LL.", éditeur à Paris.

Monsieur Gory

Iconographie des établissements de l'AP-HP

Cette collection de 9 albums offrent un panorama des établissements gérés par l'Assistance publique en 1912. Ils regroupent différents types de documents iconographiques tels que des plans, des photographies, des cartes postales, des gravures, ainsi que des documents écrits imprimés (coupures de presse, articles tirés à part). Ils constituent une source iconographique très riche en particulier sur l'implantation géographique, la configuration et l'architecture des lieux.
Les cartes postales sont particulièrement nombreuses dans ces albums. L'âge d'or de la carte postale se situe dans les années 1900 à 1920, et plus particulièrement pendant la Première Guerre mondiale qui voit les autorités militaires encourager son utilisation, permettant de cette façon de faciliter le travail de la censure et de véhiculer des dessins patriotiques. La carte postale devient ainsi un outil de propagande et un outil au service de la guerre de l'information. Certains éditeurs français ont l'idée de lancer des collections de cartes artistiques. Le coloriste Émile Greningaire publie par exemple en 1901 la Collection des cent, aujourd'hui très recherchée. La carte postale, en tant qu'outil de communication, circule par millions dans le monde entier. Si à l'origine, c'est un document presque exclusivement postal, imprimé par l'administration, des photographes, profitant des nouvelles avancées techniques, vendent leur production à une clientèle aisée sur les principaux lieux touristiques. La carte postale va ainsi aider la photographie à se diffuser à travers le monde et dans toutes les couches de la société.

Monsieur Gory

Photographies de la boucherie centrale de l'AP-HP

L'ensemble décrit ici est constitué de photographies en noir et blanc représentant les bâtiments, les
aménagements intérieurs et le personnel de la boucherie centrale au travail. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été principalement réalisées

Photographies de la boulangerie centrale de l'AP-HP

Cet ensemble est constitué de photographies en noir et blanc représentant la boulangerie centrale de l'AP-HP. On peut y voir la cour et la façade de l'hôtel Scipion dans lequel était installée la boulangerie, ainsi que l'organisation du bâtiment et les di

Photographies de la fondation Galien

Ce versement ne comprend que 10 photographies de la fondation Galien : architecture, environnement et pensionnaires. Il s'agit de reproduction de photographies anciennes réalisées par le Centre de l'image dans les années 1970-1980. Lorsque la date de la p

Photographies de la Pharmacie centrale de l'AP-HP

Cet ensemble de photographies représente les différents sites de production et de distribution de la parmacie centrale de l'AP-HP des années 1900 à 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et les services, ainsi que l'équipement médico-tehn

Photographies de l'École de chirurgie

Cet ensemble de photographies représente l'École de chirurgie de l'AP-HP située rue du Fer-à-Moulin (Paris 5e). Les photographies montrent principalement les bâtiments et l'équipement de l'établissement. Elles sont complétées par quelques photographies de

Photographies de l'hôpital maritime de Berck-sur-Mer

Cet ensemble de photographies représente l'hôpital de 1900 à 1998. On y voit principalement les différents bâtiments et les services, ainsi que les activités de prise en charge du patient et les activités hospitalières du personnel. Quelques photographies

Photographies de l'hôpital Albert-Chenevier

L'édification par l'administration de l'Assistance publique du futur hôpital pour malades chroniques de Créteil commence en 1953 et s'achève en 1959. Dès juillet 1954, il reçoit par décret du ministère chargé de la santé publique le nom d'hôpital Albert-Chenevier, en mémoire de l'ancien secrétaire général de l'Assistance publique. Initialement conçu pour soigner les patients parisiens nécessitant de moyens et longs séjours hospitaliers sans thérapeutique d'urgence, il change en 1962 de destination en ouvrant successivement des services de rééducation, puis de psychiatrie en 1969.
Rattaché au groupe hospitalier Henri-Mondor - Albert-Chenevier en 1970, l'hôpital retrouve son autonomie en 1990 puis réintègre de nouveau le groupe des Hôpitaux universitaires Henri-Mondor. Depuis 2020, il fait partie du groupe hospitalier AP-HP. Hôpitaux universitaires Henri-Mondor (HUHM) qui regroupe cinq établissements : les hôpitaux Henri-Mondor, Albert-Chenevier et Émile-Roux dans le département du Val-de-Marne, Dupuytren et Georges-Clemenceau dans celui de l’Essonne. L'hôpital Albert-Chenevier propose une offre de soins de suite et de rééducation spécialisée dans des disciplines complémentaires de celles de l'hôpital Henri-Mondor (rééducation neurologique, neuro-locomotrice, digestive, cardiaque, gériatrique). Il assure une prise en charge psychiatrique de secteur et dispose d'une expertise sur certaines pathologies : bipolarité, dépressions résistantes, schizophrénie et autisme de haut niveau. Il propose également une offre de médecine gériatrique, intégrée dans la filière gériatrique du Val-de-Marne. Il possède aussi un centre d'odontologie pour adultes et une unité de soins de longue durée à orientation neurologique.
Les photographies décrites ici représentent principalement les bâtiments et leur aménagement intérieur, ainsi que quelques activités de l'hôpital (rééducation physique et consultation du service de tabacologie) depuis la construction de l'hôpital jusque dans les années 2000.

Photographies de l'hôpital Ambroise-Paré

Les photographies décrites dans cet instrument de recherche montrent les bâtiments, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que les différentes activités hospitalières de l'établissement. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réa

Photographies de l'hôpital Antoine-Béclère

Dans l'ensemble de photographies décrites dans cet instrument de recherche, on peut voir les bâtiments, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que la prise en charge des patients dans les différents services de l'établissement. Les prises de

Photographies de l'hôpital Armand-Trousseau

En 1854, l'administration de l'Assistance publique décide de transformer en hôpital pour enfants l'annexe de l'Hôtel-Dieu située au faubourg Saint-Antoine et alors connue sous le nom d'hôpital Sainte-Marguerite. Le nouvel établissement pédiatrique prend le nom d'hôpital Sainte-Eugénie, en l'honneur de l'impératrice Eugénie, épouse de l'empereur Napoléon III. Inauguré le 16 mars 1854, il compte alors 405 lits de médecine et de chirurgie pour accueillir les jeunes malades. En 1880, sur proposition de l'administration, l'hôpital est rebaptisé hôpital Trousseau, pour honorer la mémoire d'Armand Trousseau (1801-1867), médecin des hôpitaux à l'Hôtel-Dieu et à Saint-Antoine et titulaire de la chaire de clinique médicale de l'Hôtel-Dieu. Les travaux de voirie entrepris par la ville de Paris en vue du dégagement de la gare de Lyon contraignent l'administration hospitalière à procéder au transfert de l'hôpital pour enfants. Reconstruit par les architectes Maistrasse et Berger dans le 12e arrondissement de Paris, rue du Dr Arnold-Netter, le nouvel hôpital Trousseau entre en service le 15 mars 1901 tandis que son inauguration en présence d'Émile Loubet a lieu en juillet 1901. Il compte 353 lits en 1909, 570 lits en 1948 et jusqu'à 645 lits en 1960. Les réorganisations internes à l'AP-HP, le redéploiement de l'activité dans l'ensemble de ses hôpitaux ont entraîné une diminution de l'offre d'accueil, ramenée à 329 lits en 1998.
Aujourd'hui, l'hôpital Armand-Trousseau demeure fidèle à son héritage hospitalier pédiatrique et son regroupement avec l'hôpital de La Roche-Guyon (Val-d'Oise) en 2006 lui permet désormais d'assurer aussi la prise en charge du polyhandicap. Il fait partie du groupe hospitalo-universitaire AP-HP. Sorbonne Université. Les photographies décrites ici représentent l’hôpital Trousseau entre 1926 et 2002. On y voit principalement les bâtiments, l'aménagement intérieur, ainsi que les différentes activités de prise en charge des patients dans les services, et les activités du personnel hospitalier. Quelques photographies d'évènements, comme l'inauguration du bâtiment crèche-médecine en 1954, et de visites de personnalités viennent compléter cet ensemble. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l’image dans les années 1950-1980, puis par les photographes de la direction de la communication, certaines à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Avicenne

Cet ensemble de photographies représente l'hôpital de 1935 à 1996. On y voit principalement les différents bâtiments et services, ainsi que le matériel médical utilisé. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l'image dans les années 1960-1980

Photographies de l'hôpital Beaujon

Cet instrument de recherche regroupe les photographies du premier hôpital Beaujon situé à Paris (1884-1937), transféré à compter de 1935 dans de nouveaux locaux construits à Clichy (Hauts-de-Seine). On y voit principalement les différents bâtiments et ser

Photographies de l'hôpital Bicêtre

Les origines de l'hôpital de Bicêtre remontent au XVIIe siècle avec l'achat par Louis XIII d'une propriété pour y fonder un hospice destiné au soin des soldats invalides. En 1634, l'hôpital nommé "La commanderie de Saint-Louis" ouvre ses portes. En 1647, Vincent de Paul obtient de la reine régente Anne d'Autriche d'y faire admettre également les enfants trouvés. Dès la création de l'Hôpital général en 1656, la maison de Bicêtre lui est rattachée et devient un lieu d'enfermement pour les indigents. Rapidement, ses prérogatives s'élargissent : en 1690, Bicêtre reçoit désormais aussi des vénériens, puis, au XVIIIe siècle, des prisonniers installés dans le bâtiment de la Force. À la veille de la Révolution française, le lieu accueille une population hétéroclite de gens sans foi ni loi, sans feu ni lieu, mendiants, soldats invalides, prisonniers, vieillards indigents, mais aussi des enfants abandonnés, des épileptiques, des incurables, des aliénés et des vénériens, les seuls d'ailleurs à recevoir un semblant de soin. Les aliénés sont enfermés dans le quartier de Saint-Prix ; les plus agités sont serrés dans des loges de 2 m avec couchette scellée au mur, sans ouverture sinon la porte, tandis que les fous réputés calmes sont placés dans des dortoirs, à 3 par paillasse. On fait travailler les indigents dans des ateliers et les plus valides servent de main-d'œuvre pour les grands travaux tels que la construction du grand réservoir et du puits, dessinés par l'architecte Germain Boffrand en 1733. En août 1793, un décret de la Convention nomme le Dr Philippe Pinel médecin-chef de l'asile de Bicêtre. Avec l'aide du surveillant-chef Jean-Baptiste Pussin, il humanise le traitement des aliénés en supprimant les chaines pour les fous jugés non furieux et en passant aux plus atteints une camisole en tissu lors des crises, afin d'éviter qu'ils ne se blessent. Bicêtre conserve en parallèle sa vocation carcérale jusqu'en 1836, et un secteur particulier, dit "la Correction" est destiné aux mineurs entre 13 et 25 ans. Régulièrement, on y prélève les misérables envoyés au bagne, enchainés 2 par 2 par un collier de fer. La constitution du convoi et son départ constituent toujours un événement pour les curieux. En 1836, quelque 500 détenus sont transférés de Bicêtre dans les prisons de la grande et de la petite Roquette à Paris. Quant aux syphilitiques, dès 1792, ils ont été envoyés dans le nouvel hôpital des Vénériens, qui prend tour à tour au XIXe siècle les noms d'hôpital du Midi, Ricord, Cochin annexe, avant d'être absorbé par l'hôpital Cochin au début du XXe siècle.

En 1801, la maison de Bicêtre est placée sous la tutelle du Conseil général des hospices de Paris et sa vocation évolue peu à peu. Par arrêté du 4 juin 1823, elle reçoit le nom d'hospice de la Vieillesse-Hommes. De nombreux travaux viennent remodeler l'architecture du XVIIe siècle : les bâtiments sont surélevés d'un étage, on leur ajoute de nouvelles ailes et on y intègre des pavillons d'angle. Depuis le départ des prisonniers en 1836, Bicêtre n'est plus qu'un établissement charitable divisé en 2 quartiers : l'hospice, pour les vieillards et les infirmes indigents, et l'asile, pour les aliénés adultes et les enfants arriérés. L'hospice compte 2 655 lits en 1830 et 2 790 en 1848. S'y ajoute, dans les années 1850, un hôpital temporaire, avec des services de médecine et de chirurgie. À la fin du XIXe siècle est édifié à l'ouest un quartier d'aliénés, toujours visible, constitué de grands pavillons parallèles reliés entre eux par des galeries. En juin 1885, l'établissement reprend le nom de Bicêtre. En 1900, les services hospitaliers se répartissent ainsi : les services d'infirmerie (ex hôpital temporaire : médecine [4e division, 1re section], chirurgie [4e division, 2e et 3e sections, 3e division, 2e et 3e sections, 1re division, 2e section]) ; les divisions d'indigents (1re division, 1re section ; 2e division ; 3e division, 1re section) ; les aliénés dont on peut supposer qu'ils forment la 5e division à partir de 1838, répartie en 5 sections, dont la 3e accueille les mineurs. Parmi les médecins passés dans la 5e division, il faut citer le Dr Bourneville (fin XIXe siècle), dont la signature figure sur plusieurs registres.

Pendant la Première Guerre mondiale, l'Assistance publique construit à Bicêtre des baraquements pour tuberculeux, qui prennent le nom de sanatorium Georges-Clemenceau en 1918, en hommage au "père la Victoire", interne dans cet hôpital en 1863. Ils fonctionnent jusqu'en 1935, date à laquelle ouvre un nouvel établissement à Champcueil (Essonne), qui prend à son tour le nom de Georges-Clemenceau. Progressivement, la place des activités de médecine s'étoffe, surtout à partir de 1950, avec le départ progressif des pensionnaires de l'hospice. Devenu hôpital de soins pour aigus, il s'adjoint en 1952 un hôpital pour enfants installé dans deux pavillons de l'ancienne division Bourneville, modernisés et aménagés à cet effet. C'est à Bicêtre qu'ouvre, en 1957, le premier service de cardiologie infantile de France. La modernisation se poursuit, on installe de nouveaux équipements, et en 1981 on inaugure le nouveau bâtiment Paul-Broca, qui permet sur ses 7 étages d'ouvrir de nouvelles unités dans de nombreuses spécialités. Aujourd'hui, l'hôpital Bicêtre propose une large gamme de spécialités pour l'adulte et l'enfant. Doté d'une structure d'accueil des urgences médicales et chirurgicales, il assure une prise en charge des polytraumatisés et participe à la grande garde de neurochirurgie. Il dispose notamment d'une expertise en immunopathologie ainsi qu'en neuroradiologie interventionnelle. Il accueille un centre périnatal de type III et un centre de chirurgie ambulatoire.

Depuis 2019, l'hôpital Bicêtre fait partie du groupe hospitalo-universitaire AP-HP. Université Paris-Saclay avec les hôpitaux Antoine-Béclère à Clamart (92), maritime de Berck (62), Paul-Brousse à Villejuif (94), Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt (92), Sainte-Périne (Paris 16e) et Raymond-Poincaré à Garches (92).

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital Bicêtre de 1952 à 2002. On y voit principalement les bâtiments constituant l'hôpital, dont certains sont inscrits ou classés à l'inventaire des monuments historiques, l'aménagement intérieur des différents services ainsi que la prise en charge des patients. Quelques photographies des activités du personnel hospitalier ainsi que d'événements (inauguration de nouveau service, visites de personalités...) viennent compléter cet ensemble. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l’image dans les années 1950-1980, puis par les photographes de la direction de la communication.

Photographies de l'hôpital Bichat

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre la fin des années 1890 au moment de sa
construction et le début des années 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services
ainsi que le matériel médical. Les prises de vue ont

Photographies de l'hôpital Boucicaut

La fondation de l'hôpital Boucicaut dans le quartier de Javel (15e arrondissement) concrétise les volontés testamentaires de Marguerite Boucicaut exprimées par son legs universel à l'Assistance publique. L'administration, tenue de construire et d'entretenir un hôpital en son nom, fait l'acquisition d'un terrain sur la rive gauche de la Seine, rédige un programme de concours d'avant-projet et fait appel aux architectes Legros père et fils. L'hôpital se compose de 8 pavillons en brique à deux étages, séparés par des jardins afin d'éviter la contagion. Son inauguration a lieu le 1er décembre 1897 en présence du président de la République Félix Faure.
L'hôpital Boucicaut est un hôpital général d'une capacité de 206 lits à l'ouverture. À l'origine, quelques-uns de ces lits sont réservés au personnel du Bon Marché, le grand magasin que Marguerite Boucicaut a fondé et dirigé avec son mari. Initialement consacré au traitement spécial de la tuberculose, l'hôpital est le premier à organiser un service spécial de consultations.
L'établissement a hébergé le Laboratoire d'eutonologie auto-financé (CEPEBPE) du professeur Henri Laborit, neurobiologiste, de 1958 à 1995. Il a également accueilli le premier service d'urgences mains d'Europe ainsi que le label "SOS mains" créé par le professeur Raymond Vilain et le docteur Vladimir Mitz, qui vit l'avènement et le développement de techniques opératoires innovantes.
L'hôpital a fermé en 2000 et les services qui s'y trouvaient ont été transférés dans le nouvel hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP), également situé dans le 15e arrondissement de Paris.

Les photographies décrites ici concernent l'hôpital Boucicaut des années 1950 à 2000, au moment du transfert de ses activités vers l'HEGP. Les photographies représentent principalement les bâtiments, ainsi que l'aménagement intérieur des différents services. Elles sont complétées par des clichés témoignant des activités principales de l'établissement, ainsi que des visites de personnalités. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Bretonneau

Les photographies décrites ici, représentent principalement l'hôpital Bretonneau dans les années 1990-2000 au moment de son changement de vocation et sa reconstruction pour accueillir les nouvelles activités gériatriques ainsi que le personnel hospitalier

Photographies de l'hôpital Broca

L'hôpital Broca emprunte son nom en 1893 au chirurgien Paul Broca (1824-1880), fondateur de la Société d'anthropologie. Situé dans le 13e arrondissement de Paris sur l'emplacement d'un ancien couvent de cordelières fondé par Marguerite de Provence au XIIIe siècle, pendant l'Ancien Régime, il reçoit des femmes atteintes de maladies vénériennes, puis se transforme en orphelinat et hôpital de refuge pour les soldats. Décrété bien national pendant la Révolution, il est vendu en 1796 aux industries de tannerie qui occupent la vallée de la Bièvre.
L'épidémie de choléra qui sévit à Paris en 1832 amène les autorités à transformer le bâtiment en refuge pour les orphelins dont les parents sont morts de cette maladie. Acquis en 1834 par le Conseil général des hospices de la ville de Paris, le nouvel hôpital, alors baptisé hôpital Lourcine, du nom de la rue avoisinante, est inauguré en 1836. Initialement destiné aux soins des femmes atteintes de maladies vénériennes (à l'instar de l'hôpital Ricord situé non loin pour les hommes), il ouvre petit à petit d'autres services réservés aux femmes pour le traitement des maladies de peau et les affections gynécologiques.
En 1882, l'établissement ouvre une annexe temporaire sur la rue Pascal, dite annexe Pascal : elle se résume à quelques baraquements placés sous la direction d'un médecin du Bureau central et dédiés à l'accueil des malades chroniques. En 1884 toutefois, le professeur Pozzi, chef du service de chirurgie de Lourcine, obtient que l'annexe Pascal soit confiée aux médecins et au chirurgien de Lourcine. Reconstruite de 1894 à 1898, elle est affectée à la gynécologie et fait désormais partie intégrante de l'hôpital Broca, comme il ressort de l'examen des comptes et dépenses à partir de cette date.
À la faveur des travaux de rénovation et modernisation entrepris dans les années 1970 ont été découverts des vestiges archéologiques de l'ancien couvent gothique des cordelières, visibles depuis la rue de Julienne. En 1982, à l'occasion de sa réouverture, l'hôpital Broca change à nouveau de spécialisation et devient un hôpital dédié à la gérontologie clinique. Il accueille des patients de plus de 75 ans dans ses unités de gériatrie aiguë, soins médicaux et de réadaptation, soins de longue durée. L'hôpital Broca dispose de places en hôpital de jour, d'un plateau technique de rééducation et propose des prises en charge spécialisées (consultations mémoire, cardio-gériatrie, chute, fragilité, plaies, psychogériatrie…) ainsi qu'une expertise dans l’évaluation et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer et des troubles apparentés. Des activités de recherche sont également menées, avec notamment un laboratoire de recherche spécialisé dans la recherche et l'innovation des technologies pour la santé et l'autonomie.
Depuis 2019, l’hôpital Broca a intégré le groupe hospitalo-universitaire AP-HP. Centre - Université Paris Cité.
Les photographies décrites ici représentent l’hôpital Broca 1959 et 1992. On y voit principalement les bâtiments en particuler la rénovation de l'hôpital à partir de 1975 ; l'aménagement intérieur, ainsi que les différentes activités de prise en charge des patients dans les services, et les activités du personnel hospitalier. Quelques photographies d'évènements, comme des festivités organisées pour les pensionnaires de l'hôpital, et de visites de personnalités viennent compléter cet ensemble. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l’image dans les années 1950-1980, puis par les photographes de la direction de la communication, certaines à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

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