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Fonds photographique Jean Ribière

Le Conseil départemental du Jura a acquis en 2011, 99 clichés puis en mars 2013, 5 vues complémentaires, concernant diverses localités du Jura. Ceux-ci ont été achetés à Madame Hélène Tabès, propriétaire du fonds photographique réalisé des années 1940 à 1980 par son père, Jean Ribière, photographe professionnel décédé brutalement en 1989. Jean Ribière, photographe de renom, est né à Niort le 9 février 1922. Il débute sa carrière au service photo du Journal L'Indépendant des Pyrénées-Orientales en 1940. En 1944, il épouse Micheline Vialle, journaliste elle aussi. Jean, excellent photographe, et Micheline, grand reporter, décident alors de créer leur propre agence de presse. Ils vendent bientôt leurs reportages à plus d'une centaine de journaux et magazines français et étrangers: L'Express, L'Aurore, Match, Keystone, BBC Londres.... Dans les années 1950, leurs sujets se diversifient pour s'orienter vers la vie quotidienne française. Ils possèdent notamment de nombreux documents exceptionnels et rares sur chacun des départements français qu'ils ont parcourus pendant plusieurs années afin de mettre en lumière les traditions, l'art roman, la vie rurale, les petits métiers. Parallèlement à cette découverte du terroir, ils ont une activité de journalistes sportifs et de chroniques judiciaires. Durant les années 1960, le talent de Jean Ribière est reconnu au travers d'expositions internationales de photographies où il reçoit de nombreux premiers prix, notamment en Andorre en 1962. Dans les années 1970, Jean et Micheline Ribière donnent une orientation nouvelle à leur agence en proposant aux éditeurs européens et américains des illustrations sur des thèmes de la vie des régions françaises. Toujours en quête de la satisfaction de leurs clients, ils réalisent désormais des reportages hors de France (Espagne, Portugal, Belgique, Italie....). Reconnu par la profession pour son action constante de défense des droits d'auteurs, Jean Ribière s'investit beaucoup dans les principales associations professionnelles nationales de photographes. Il était vice-président de l'Association nationale des journalistes reporters photographes et cinéastes, dont le président était Robert Doisneau et les membres principaux Henri Cartier-Bresson et Raymond Depardon. A sa mort en 1989, Jean Ribière lègue à sa fille, Hélène Tabès, 120 000 documents photographiques ainsi que 150 textes de reportages documentaires, couvrant son activité et celle de sa femme de 1941 à 1989. Le 21 août 2002, la Municipalité de Perpignan lui rend hommage en donnant son nom à une rue de la ville, dans un nouveau quartier dédié aux plus grands photo-journalistes mondiaux. Aucune institution photographique ou patrimoniale nationale, ou institution du lieu d’origine et d’activité du photographe n’ayant accueilli la totalité du fonds, Madame Tabès a décidé de proposer à chaque département où à travaillé son père, d’acquérir les négatifs et éventuels tirages papier s’y rapportant.

RIBIÈRE, Jean (1922-1989)

Fonds Pierre Gernez

Pierre Gernez a été journaliste et photographe pour la ville de Pantin de 1982 à 2002. Le fonds illustre l'actualité municipale et parfois départementale. Il est constitué de 19 600 négatifs, tirages et diapositives. Fonds donné en 2009.

GERNEZ, Pierre

Fonds Pierre Trovel

Fonds personnel de Pierre Trovel, reporter-photographe à l'Humanité. Il couvre l'actualité départementale, nationale et internationale. L'ensemble compte 400 000 négatifs souples et 65000 photographies photographies numériques natives (cela représente environ 500 Go). Fonds déposé en 2014.

TROVEL, Pierre (1947-)

Fonds "Pour la danse"-Annie Bozzini

Cette collection de plus de 5 000 tirages photographiques de presse, a été constituée au fil des années de parution de la revue "Pour la danse" (1972-1990). Organisée par nom d'artistes, de compagnies ou à défaut, de sujets, elle concerne plus de cent chorégraphes différents, actifs principalement dans les années 1980, tout en présentant quelques lacunes suite à des prélèvements effectués avant le versement à la médiathèque du CND à l'initiative d'Annie Bozzini, alors directrice du Centre de développement chorégraphique (CDC) de Toulouse.

Parmi les 280 auteurs de cette collection, les photographes suivants sont les plus massivement représentés : Dominique Bougonnier, André Chino, Agnès Courrault, Guy Delahaye, Christian Ganet, Jean-Marie Gourreau, Jean Gros-Abadie, Christine Henry, Le bar Floréal (Noak, Myr), Colette Masson, Anne Nordmann, Claudio Rey, Christiane Robin, Geneviève Stephenson et Tristan Valès.

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