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Paysage, architecture civile et religieuse de différents pays. Portraits.

Photographies concernant la Haute-Marne, Dijon et les villages de Côte-d'Or.

Né le 5 mars 1874 au Locle (canton de Neuchâtel, Suisse), décédé à Dijon, le 27 octobre 1959, Eugène Ulysse Reinert était un précépteur à Tain-l'Hermitage, dans la Drôme, avant d'entrer dans les ordres le 29 juin 1900. Le fonds est constitué d'une bibliothèque spécialisée sur l'histoire religieuse de la Révolution ; de papiers personnels, notes de recherches et documents relatifs au clergé côte-d'orien au XVIIIe siècle et durant la Révolution.

Les Muteau sont une famille d'hommes de loi, d'industriels et d'hommes politiques attachés à la région dijonnaise depuis le 17e siècle. La bibliothèque de Dijon conserve un ensemble de la bibliothèque familiale des Muteau ainsi que divers documents dont des albums de voyages. Le premier dépôt de papiers et lettres à la BM de Dijon a été effectué par Mme Ameline, nièce de Charles Muteau en 1947. Il est suivi par le don de la Mairie de Fauverney en 1974, provenant du château de Chassagne, comprenant la bibliothèque de la famille Muteau.

Louis Morel-Retz, dit Stop, est un artiste français, caricaturiste, dessinateur, illustrateur et graveur. Né le 3 juin 1825 à Dijon, il est mort dans la même ville le 4 septembre 1899. Le fonds réunit des photographies, dessins, croquis, caricatures et recueils d'estampes.

André Mary (1879-1962), écrivain et poète, né a Châtillon-sur-Seine. Papiers d'archives, papiers d'intérêt familial, fonds local Bourgogne-Châtillonnais. Ouvrages imprimés. Une grande partie du fonds Mary, ses oeuvres publiées et sa correspondance professionnelle est conservée à la bibliothèque de la Sorbonne

Né le 25 mai 1866 à Passy dans l'Yonne, Jules Legras est aujourd'hui reconnu pour ses nombreux voyages en Russie et Sibérie. Élève à l'École normale supérieure de 1886 à 1889, agrégé d'Allemand, il est maître de conférences à Bordeaux de 1893 à 1897 puis enseigne à la faculté de Lettres de Dijon de 1897 à 1929, date à laquelle il est nommé à la Sorbonne où il devient professeur de littérature russe jusqu'à sa retraite. Membre du foyer slaviste animé par Paul Boyer, J. Legras voyage près de 10 ans en Russie entre 1892 et 1920. Il entreprend ses premiers voyages à la fin des années 1890, d'abord en Russie puis trois fois en Sibérie (alors que la construction du Transsibérien est à peine achevée) entre 1895 et 1903. Ces voyages forment la matière des albums russes d'avant-guerre et de la série des négatifs. En 1915, engagé dans l’armée à presque 50 ans, Jules Legras est envoyé sur le front Russe en tant que conférencier militaire puis nommé Lieutenant du 1er Régiment, mais détaché comme officier de 2e bureau à l'Etat major du premier corps d'armée sibérien. Avec l'installation du régime bolchevik, il intègre en août 1918 la mission Janin. Legras était considéré comme un spécialiste de la Russie grâce à sa longue immersion dans ce pays et les témoignages écrits et photographiques qu’il en rapporte. Membre de l'Académie des belles-lettres de Dijon en 1907, il prend sa retraite en 1936. Il meurt à Dijon le 12 mai 1939. Le fonds Legras contient de la documentation relative à l'histoire, la littérature et la civilisation russe, de la littérature allemande et des photographies de voyages.

Ce fonds est issu des trouvailles effectuées par Jacques Legendre, officier administratif, et sa femme japonaise Tama, tous deux ayant vécu de nombreuses années en Chine et beaucoup voyagé, en particulier au Japon. Partagée entre le Musée des Beaux-Arts de Rouen, lequel a hérité d’objets d’art asiatique des Legendre, le musée du Quai Branly - Jacques Chirac, qui possède des pièces venant du Maroc, et la bibliothèque de Dijon, leur très riche collection donne à voir divers continents dont l’Asie à différentes époques. La bibliothèque conserve des imprimés, des cartes postales et des photographies de voyages prises ou achetées par les Legendre.

Né en 1883 à Bligny-sous-Beaune, Lucien Laboureau fait des études au séminaire de Dijon. En 1909, il est vicaire à Saint-Jean-de-Losne, puis à Saint-Pierre de Dijon en 1913. Il est mobilisé durant la Première Guerre mondiale. Il devient curé de Pluvault en 1924 et dessert Tart et Premières. Il devient par la suite chanoine titulaire de Saint-Bénigne et aumônier des Bénédictines Adoratrices de Dijon en 1958. Membre de l'association sacerdotale de prière, il décède en 1966 à l'Hôtel-Dieu de Beaune. Tout au long de son existence, il mène un certain nombre de recherches généalogiques et historiques locales. Il est le frère de l'abbé Henri Laboureau. Le fonds contient des notes et transcriptions historiques locales (région de Genlis-Pluvault). Ainsi que des photographies de 1914-1918 et des cartes postales.

Henri David (1891-1980) fut docteur en lettres et membre de l'Institut français de Florence. Le fonds contient des dossiers relatifs à la sculpture bourguignonne au XVe et XVIe siècle, utilisé pour son ouvrage publié en 1933: des notes, des photographies et des cartes postales.

Ensemble documentaire (manuscrits, documents d'archives, imprimés, photographies...) émanant de la famille Gorboff autour de l'expérience migratoire et de la mémoire familiale, ainsi que des oeuvres de certains de ces membres dont Marina Gorboff. Les documents conservés dans le fonds Gorboff constituent l'un des matériaux essentiels sur lequel s'appuient les travaux de Marina Gorboff sur la mémoire et l'histoire de la famille Gorboff.

Etudes historiques et archéologiques bourguignonnes, conférences sur l'art, récits de voyages au Siam, en Malaisie et à Madagascar, recherches généalogiques sur la famille Marion.

Henri Drouot (1886-1955) fut professeur à la faculté de lettres de Dijon et spécialiste de l'histoire politique et religieuse de la France au XVIe siècle. Le fonds contient des notes, cours et documentation relative à la Ligue et à la Fronde, une bibliothèque historique et générale.

Né à Dole en 1858, élève aux Jésuite du Mont-Roland, Pierre de Truchis devient élève de l'école des Beaux-Arts de Dijon, puis de celle de Paris comme élève de Gérôme. Entre voyages et expositions, il partage son atelier avec Courtois de la Haute-Saône. Vers 1885, il commence à se consacrer exclusivement à l'archéologie et plus spécialement à l'archéologie médiévale bourguignonne. Collection d'imprimés, de documents manuscrits et de photographies au sujet de l'archéologie médiévale en Bourgogne.

Jean Henri Breuil, maître chocolatier et collectionneur, bibliophile, numismate et amateur d'art né à Dijon en 1888 et mort en 1971. Manuscrits et imprimés concernant la Bourgogne et l'histoire de Dijon, reliures remarquables. Estampes : Estampes : vues de Dijon et autres villes. Photographies : Dijon, guerre 1939-1945. Plaques de verre et négatifs sur la chocolaterie Breuil. Négatifs de vues de paysages, villages et châteaux de Bourgogne, principalement Côte-d'Or. Vignettes de chocolat. Médailles et monnaies

Jean-François Bazin était docteur en droit à l'Université de Bourgogne mais également journaliste, homme politique et écrivain français originaire de Dijon. Le fonds est constitué de documents iconographiques : concernant la libération, les vendanges et la récolte des petits fruits; de Papiers : une documentation relative au TGV en Bourgogne.

Recueil factice de 82 photographies, collectionnées par M. Morel-Retz dit Stop (1825-1899) au cours d'un voyage en Egypte en 1869 et réunies en 2 albums. Elles illustrent le Caire avec différents points de vue sur les monuments comme la citadelle ou l’intérieur des mosquées. D'autres vues ont été prises aux environs du Caire, présentant mosquées, temples, pyramides, Sphinx, bords du Nil et forêts. L'album contient également deux photos monochromes d’aquarelles du photographe et artiste Stop.

284 plaques de verre au gélatino-bromure, négatifs et positifs de formats 9x12 et 8x10. Provenance du Diocèse de Dijon. Prises entre 1896 et 1914.

Album de 20 photographies représentant des vues de Dijon. La statue de la Résistance est une photographie du conservateur du Musée de Dijon Albert Joliet. La dernière photographie de l’album, du bassin du Jardin Darcy a été prise par Remy Gorget, photographe dijonnais actif à la fin du XIXème siècle dont l’atelier se situait à Dijon, en face de la gare.