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La série Fi regroupe tous les documents figurés d'origine privée entrés aux Archives départementales par voie extraordinaire, c'est-à-dire en dehors de la procédure réglementaire du versement. Plus de 50000 unités sont conservées, il s'agit de documents photographiques, de cartes postales, de dessins, gravures ou estampes, de cartes et plans, d'affiches. Les pièces isolées sont réparties dans les quinze premières sous-séries selon leur support et leur format. Les sous-séries suivantes sont consacrées à des fonds et collections iconographiques. Depuis la mise en application de la série Fi, la méthode de classement des documents concernés a évolué suivant les différentes directives de la Direction des Archives de France.
Aux Archives de la Mayenne, la série Fi a pu être utilisée jusqu'à la fin des années 90 comme cote de rangement pour des documents issus de fonds publics. Depuis la publication de la circulaire de 1998 sur le cadre de classement des Archives départementales, la série Fi est destinée uniquement aux archives privées. les archives publiques iconographiques ont été recotées dans leur série d'origine lorsque leur identification était possible. Cependant, des pièces d'origine publiques peuvent encore être présentes dans les sous-séries Fi.

La série J comprend les archives privées entrées "par voie extraordinaire" aux Archives de la Marne, c'est-à-dire par don, dépôt, legs, achat ou dation. Cette série comprend un premier fonds coté en série continue avec J et un numéro pour les pièces isolées. Elle s'enrichit de nombreux fonds d'origine privée qui reçoivent un numéro d'ordre à leur arrivée, créant ainsi une sous-série de J. Ces fonds sont très variés et reflètent la diversité historique de la Marne : chartriers et archives personnelles, archives d'entreprises, d'associations, d'officiers ministériels, d'artistes, d'écrivains, fonds ecclésiastique

Edifices et d’espaces protégés par Ariel Balmassière (né en 1943), architecte dont secteurs sauvegardés de Nîmes et d'Uzès. Parfois par David Hicks, photographe. Press-book avec articles et photographies.

Front d’Orient lors de la Première guerre mondiale, fonds de la SPA.

Campagne photographique animée par des professionnels à destination de jeunes de banlieues qui photographient leur quotidien entre 1983 et 1988. A fait l’objet d’une exposition au centre Pompidou en 1988.

Campagne photographique animée par des professionnels à destination de jeunes de banlieues qui photographient leur quotidien entre 1983 et 1988. A fait l’objet d’une exposition au centre Pompidou en 1988.

Patrimoine architectural français. Photographies destinées à l’illustration du magazine de l’association et réalisées par des professionnels entre 1967 et 2018.

Archives papier (dont correspondances, chronos factures et recettes, dossiers d’exposition et d’édition, bibliothèque) de l’association de photographes du bar Le Floréal entre 1985 et sa dissolution en 2015.

Félix Nadar (1820-1910) est caricaturiste, écrivain et photographe professionnel, il réalise de nombreuses expérimentations, photographiques et aéronautiques et est célèbre pour ses portraits de célébrités. Son fils Paul (1856-1939) prend la suite de l’atelier, immortalise divers évènements et ses voyages, notamment un au Turkestan. Le studio est actif du milieu des années 1850 à 1938. Les séries Na 235 à 242 correspondent à des portraits de célébrités, distingués par les Nadar eux-mêmes et proposés à la vente via des catalogue. La grande majorité se trouve sur la base Mémoire. La série ND corrrespond à la marche quotidienne du studio, et correspond à d'autres inventaires. La série NASTE correspond aux plaques sétéroscopiques. Des séries thématiques couvrent notamment les expérimentations de Félix dans les égouts et catacombes de Paris, les bustes sculptés de la Comédie-Française, l'incendie de l'Opéra-Comique ou encore les voyages de Paul Nadar au Proche-Orient et au Turkestan.

Prosper Mérimée pra Auguste Durieu (1800-1874), alors directeur des Cultes et pionnier de la photographie. Vente Millon, Paris, 10 novembre 2022

Albert Samama Chikli, code opérateur L, travaillait pour la SPA.

Fernand Cuville, code opérateur B, photographe de la SPA.

Isidore Aubert, code opérateur Z

Le couvent Saint-François à Bastia datant de 1510 et actuellement abandonné est un vestige de l’activité des Franciscains en Corse à présent situé dans la densité du centre urbain. Il subsiste toujours l’essentiel de la structure et de la distribution, défigurées par les activités de l’armée (ancien hôpital militaire après la révolution française) et marquées par les dévastations continues des hommes et du temps.
Tandis que l’approche esthétique du photographe André Mérian investit le champ du documentaire où les détails des ruines apparaissent alors comme les signes d’une présence humaine, ce travail de mémoire aboutit à un état des lieux clinique « Avant-travaux ».

Campagne d'Egypte de 1863-1864 menée par Emmanuel de Rougé. Aymard de Banville (1837-1917), photographe, a participé à cette campagne.

La commande photographique 2008 a été confiée à Georges Rousse en préambule au projet de réhabilitation du couvent Saint-François à Bastia, actuellement abandonné. Lorsque Georges Rousse s’est emparé du lieu, il y a vu « un paysage inimaginable comme un palimpseste architectural». L’empreinte artistique des œuvres photographiques qu’il a réalisées dans le cadre de cette commande s’inscrit dorénavant comme l’étape charnière de l’histoire de ce lieu en quête d’une nouvelle identité.