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Photographies de l'hôpital San Salvadour

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital principalement dans les années 1990 à 2002. On y voit les différents bâtiments et le parc ainsi que les activités de soin ou la vie de l'établissement.

Photographies de l'hôpital René-Muret-Bigottini

L’hôpital René-Muret est situé à Sevran, en Seine-Saint-Denis (93). Fondé en 1967, il porte le nom de René Muret, administrateur de l’Assistance publique, directeur de l’hôpital Saint-Louis.

L'arrêté ministériel du 20 août 1970 décide le rattachement de la maison de retraite Bigottini, fondée en 1903 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), à l'hôpital René-Muret. Les deux établissements bien que topographiquement séparés sont ainsi administrativement liés sous la dénomination d'hôpital René-Muret - Bigottini.

L’hôpital exerce une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement. Il offre aux patients un parcours complet en gériatrie avec des unités de court séjour gériatrique, géronto-psychiatrie, soins de suite et de réadaptation (SSR), soins de longue durée (SLD). Des SSR spécialisés proposent un suivi dans deux autres spécialités : addictologie et nutrition-obésité. Surtout connu pour son offre gériatrique, l’hôpital René-Muret dispose également d’une policlinique avec des consultations pluridisciplinaires, un plateau d’imagerie médicale conventionnelle ouverte sur la ville et un hôpital de jour. Une unité de médecine palliative entièrement rénovée, avec des lieux spécifiques et bien adaptés accompagne les patients qui le nécessitent dans le maintien ou l’amélioration de leur qualité de vie. Il constitue avec l’hôpital Avicenne de Bobigny, Jean-Verdier de Bondy, le groupe hospitalier AP-HP.Hôpitaux Universitaires Paris Seine-Saint-Denis (HUPSSD).

Les photographies décrites ici, représentent d'une part la construction de l'hôpital René-Muret à partir de 1966, son organisation spatiale et l'aménagement intérieur des services, ainsi que la prise en charge des patients et le personnel hospitalier dans le cadre de leurs activités, d'autre part les bâtiments de Bigottini.

Fondé à Sevran en Seine-Saint-Denis (93) en 1967, l’hôpital René-Muret emprunte son nom à un ancien administrateur de l’Assistance publique, directeur de l’hôpital Saint-Louis. En août 1970, on lui rattache la maison de retraite Bigottini, fondée en 1903 à Aulnay-sous-Bois (arrêté ministériel du 20 août 1970). Les deux établissements, bien que topographiquement séparés, sont désormais administrativement liés sous la dénomination d'hôpital René-Muret - Bigottini.

L’hôpital exerce une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement. Il offre aux patients un parcours complet en gériatrie avec des unités de court séjour, de géronto-psychiatrie, de soins de suite et de réadaptation (SSR) et de soins de longue durée (SLD). Des SSR spécialisés proposent en outre un suivi en addictologie et nutrition-obésité. Surtout connu pour son offre gériatrique, l’hôpital René-Muret dispose également d’une policlinique avec des consultations pluridisciplinaires, un plateau d’imagerie médicale conventionnelle ouverte sur la ville et un hôpital de jour. Une unité de médecine palliative entièrement rénovée, avec des lieux spécifiques et bien adaptés, accompagne les patients qui le nécessitent dans le maintien ou l’amélioration de leur qualité de vie. Depuis juillet 2019, René-Muret - Bigottini forme avec les hôpitaux Avicenne de Bobigny et Jean-Verdier de Bondy le groupe hospitalier AP-HP. Hôpitaux universitaires Paris Seine-Saint-Denis.

Les photographies décrites ici représentent d'une part la construction de l'hôpital René-Muret à partir de 1966, son organisation spatiale et l'aménagement intérieur des services, ainsi que la prise en charge des patients et le personnel hospitalier dans le cadre de ses activités, et d'autre part les bâtiments de Bigottini.

Photographies de l'hôpital Paul-Brousse

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre 1965 et 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services spécialisés, ainsi que le personnel de l'hôpital dans le cadre de ses activités. Les prises de vue ont été réalisées pa

Photographies de l'hôpital Beaujon

Cet instrument de recherche regroupe les photographies du premier hôpital Beaujon situé à Paris (1884-1937), transféré à compter de 1935 dans de nouveaux locaux construits à Clichy (Hauts-de-Seine). On y voit principalement les différents bâtiments et ser

Photographies de l'hôpital Bichat

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre la fin des années 1890 au moment de sa
construction et le début des années 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services
ainsi que le matériel médical. Les prises de vue ont

Photographies de l'hôpital Ambroise-Paré

Les photographies décrites dans cet instrument de recherche montrent les bâtiments, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que les différentes activités hospitalières de l'établissement. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réa

Photographies de l'hôpital Albert-Chenevier

L'édification par l'administration de l'Assistance publique du futur hôpital pour malades chroniques de Créteil commence en 1953 et s'achève en 1959. Dès juillet 1954, il reçoit par décret du ministère chargé de la santé publique le nom d'hôpital Albert-Chenevier, en mémoire de l'ancien secrétaire général de l'Assistance publique. Initialement conçu pour soigner les patients parisiens nécessitant de moyens et longs séjours hospitaliers sans thérapeutique d'urgence, il change en 1962 de destination en ouvrant successivement des services de rééducation, puis de psychiatrie en 1969.
Rattaché au groupe hospitalier Henri-Mondor - Albert-Chenevier en 1970, l'hôpital retrouve son autonomie en 1990 puis réintègre de nouveau le groupe des Hôpitaux universitaires Henri-Mondor. Depuis 2020, il fait partie du groupe hospitalier AP-HP. Hôpitaux universitaires Henri-Mondor (HUHM) qui regroupe cinq établissements : les hôpitaux Henri-Mondor, Albert-Chenevier et Émile-Roux dans le département du Val-de-Marne, Dupuytren et Georges-Clemenceau dans celui de l’Essonne. L'hôpital Albert-Chenevier propose une offre de soins de suite et de rééducation spécialisée dans des disciplines complémentaires de celles de l'hôpital Henri-Mondor (rééducation neurologique, neuro-locomotrice, digestive, cardiaque, gériatrique). Il assure une prise en charge psychiatrique de secteur et dispose d'une expertise sur certaines pathologies : bipolarité, dépressions résistantes, schizophrénie et autisme de haut niveau. Il propose également une offre de médecine gériatrique, intégrée dans la filière gériatrique du Val-de-Marne. Il possède aussi un centre d'odontologie pour adultes et une unité de soins de longue durée à orientation neurologique.
Les photographies décrites ici représentent principalement les bâtiments et leur aménagement intérieur, ainsi que quelques activités de l'hôpital (rééducation physique et consultation du service de tabacologie) depuis la construction de l'hôpital jusque dans les années 2000.

Photographies de la boulangerie centrale de l'AP-HP

Cet ensemble est constitué de photographies en noir et blanc représentant la boulangerie centrale de l'AP-HP. On peut y voir la cour et la façade de l'hôtel Scipion dans lequel était installée la boulangerie, ainsi que l'organisation du bâtiment et les di

Photographies du Service Central des Ambulances (SCA)

La première station d'ambulances à Paris est installée en 1887 à l'hôpital Saint-Louis. Elle est destinée au transport des blessés sur la voie publique. En 1882 déjà, les "Ambulances de la ville de Paris" dépendant de la préfecture de la Seine, avaient été créées pour le transport des malades contagieux lors des épidémies. Transférées sous l'autorité du directeur général de l'Assistance publique en 1941, elles deviennent les « Ambulances des hôpitaux de Paris ». Le service est réparti sur 3 stations : Falguière dans le 15e arrondissement, Chaligny dans le 12e arrondissement et Caulincourt dans le 18e arrondissement. Chaque station autonome gère son personnel et ses ambulances.
Afin d'optimiser ce service, une centralisation des appels est opérée qui débouche sur la création en 1952 du Bureau central des ambulances (BCA) chargé d'enregistrer les demandes d'ambulance et de réguler l'ensemble des véhicules afin d'optimiser les trajets et diminuer la durée d'attente des patients. Les stations deviennent des lieux de rassemblement du personnel ambulancier ainsi que des garages pour les véhicules. Le BCA est situé à Charenton-le-Pont, près de la station de métro du même nom.
Les ambulances de l'Assistance publique assurent la totalité des transports, médicalisés ou non, jusqu'à la création du Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR) en 1972. Après cette date, elles poursuivent leur mission de transport des malades à leur demande bien que celle-ci diminue fortement du fait du développement du SMUR et des ambulances privées, avant de remonter dans les années 1980. En 1985, les stations des ambulances sont : Macdonald dans le 19e arrondissement, Chevaleret dans le 13e arrondissement et Charenton dans le 12e arrondissement.

Les photographies décrites ici représentent le Service central des ambulances dans les années 1960 à 2000 : différents types de véhicules et de matériels, personnel dans l'exercice de ses fonctions.
Quelques prises de vue ont été réalisées à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de la boucherie centrale de l'AP-HP

L'ensemble décrit ici est constitué de photographies en noir et blanc représentant les bâtiments, les
aménagements intérieurs et le personnel de la boucherie centrale au travail. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été principalement réalisées

Photographies de l'École de chirurgie

Cet ensemble de photographies représente l'École de chirurgie de l'AP-HP située rue du Fer-à-Moulin (Paris 5e). Les photographies montrent principalement les bâtiments et l'équipement de l'établissement. Elles sont complétées par quelques photographies de

Photographies de la fondation Galien

Ce versement ne comprend que 10 photographies de la fondation Galien : architecture, environnement et pensionnaires. Il s'agit de reproduction de photographies anciennes réalisées par le Centre de l'image dans les années 1970-1980. Lorsque la date de la p

Photographies de l'hôpital Vaugirard

Entre 1914 et 1918, l'ancien petit collège des jésuites de Vaugirard, dans le 15e arrondissement de Paris, est transformé en hôpital militaire franco-brésilien, où des chirurgiens brésiliens viennent soigner les blessés avec du matériel offert par leur pays. En 1920, la faculté de médecine de Paris, devenue propriétaire du domaine et des bâtiments, y installe une clinique chirurgicale qu'elle met à la disposition de l'Assistance publique par convention l'année suivante. L'établissement, nommé hôpital Vaugirard, ouvre le 4 novembre 1921. Son nouvel administrateur le destine à une vocation de clinique thérapeutique chirurgicale. Il compte alors 160 lits. En 1954, la convention de mise à disposition est renouvelée pour 30 ans. En 1960, on dénombre 192 lits.
En 1966, l'administration de l'Assistance publique décide son rattachement administratif au groupe hospitalier Necker-Enfants malades-Laennec et en 1985, devenue pleinement propriétaire, elle remet en cause cette union. Vaugirard doit modifier ses activités : les interventions chirurgicales sont désormais pratiquées à Laennec et l'hôpital renonce à son service de médecine. En 1986, il est en partie fermé et devient un centre de moyen et long séjour de 65 lits, rattaché à l'hôpital Boucicaut jusqu'en 1992. La construction du nouvel hôpital débute au cours du 1er semestre 1989 et s'achève fin 1991. En 1992, le nouvel hôpital Vaugirard devient un hôpital gérontologique. En 1999, il accole à son nom celui de Gabriel Pallez, en hommage à celui qui fut directeur général de l'AP-HP de 1969 à 1985.
La fermeture des hôpitaux Laennec et Boucicaut et l'ouverture de l'hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) entre 1998 et 2000 entrainent une nouvelle organisation des établissements de santé dans le secteur géographique, qui se traduit par la création du groupe des hôpitaux universitaires Paris-Ouest (HUPO), regroupant HEGP, Corentin-Celton et Vaugirard-Gabriel-Pallez. En 2016, ce dernier compte 291 lits et 11 places d'hôpital de jour.
Aujourd'hui, cet ensemble a rejoint le groupe AP-HP. Centre - Université de Paris, avec les hôpitaux Necker, Cochin, Broca et Hôtel-Dieu.

Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital dans les années 1990, à l’époque où il devient un centre de moyen et long séjour et un hôpital gériatrique. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, les images témoignent des différentes activités médicales de l'établissement. Quelques photographies datant des années 1930 et 1960 lorsque l’hôpital était principalement dédié à la chirurgie, viennent compléter cet ensemble. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de la Pharmacie centrale de l'AP-HP

Cet ensemble de photographies représente les différents sites de production et de distribution de la parmacie centrale de l'AP-HP des années 1900 à 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et les services, ainsi que l'équipement médico-tehn

Photographies du Siège de l'AP-HP

Le siège historique de l'AP-HP est composé de 2 îlots de bâtiments couramment dénommés "Victoria" et "Saint-Martin", en raison de leur localisation (3-5 place de l'Hôtel de Ville / 1-5 avenue Victoria / 4-6 quai de Gesvres / 2-4 rue de la Tacherie pour le premier et 7-9 avenue Victoria / 2-4bis rue Saint-Martin / 8 quai de Gesvres / 1-3 rue de la Tacherie pour le deuxième), dans le 4e arrondissement de Paris. Ces locaux abritent les services de l'administration centrale de l'AP-HP depuis 1858 à Victoria et 1963 à Saint-Martin. L'ensemble de photographies décrites ici présente les bâtiments des îlots Victoria et Saint-Martin. On peut y voir principalement les façades et les accès des bâtiments, ainsi qu'une partie de l'aménagement intérieur.

Les prises de vue par le Centre de l'image ont été principalement réalisées dans les années 1970-1980, certaines à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Saint-Lazare

L'hôpital Saint-Lazare se situe à l'emplacement de l'ancienne léproserie Saint-Ladre ou Saint-Lazare fondée au XIIe siècle par les frères hospitaliers du même nom. Cet établissement, voué au soin des lépreux, est confié dans la première moitié du XVIIe siècle à Vincent de Paul et à la congrégation de la Mission. L'établissement reçoit des prêtres venus se former à l'évangélisation des campagnes, des ecclésiastiques souhaitant faire retraite, mais aussi des aliénés et des délinquants. Il est à la fois maison religieuse, maison d'aliénés, maison d'arrêt et maison de correction. Transformé en prison à la Révolution, il revient au département de la Seine en avril 1811. L'ancien bâtiment, rasé vers 1824, est reconstruit par l'architecte Baltard. Il devient une infirmerie pour les femmes atteintes de maux vénériens : c'est l'Infirmerie spéciale créée en 1834. La maison de Saint-Lazare fonctionne comme lieu de traitement pour femmes jusqu'en 1955. Au regard de la nette diminution de la morbidité vénérienne, la préfecture de police de Paris, administratrice de l'hôpital, décide de céder une partie de ses lits à l'Assistance publique. En 1955, Saint-Lazare abrite au profit de l'hôpital Lariboisière un service de désencombrement de 240 lits.

Le 1er janvier 1961, la préfecture cesse d'administrer l'hôpital. L'intégralité des services dépend désormais de l'Assistance publique. Devenu membre du groupe hospitalier Lariboisière – Fernand-Widal – Saint-Lazare, l'hôpital possède une capacité d'hospitalisation de 276 lits en 1962, 115 en 1985 et 55 en 1998. À la fin de l'année 1998, le service hépato-gastro-entérologie est transféré à Lariboisière, tandis que les bâtiments sont restitués à la ville de Paris qui en est propriétaire.

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital et les différents services le composant lorsqu'il est entièrement administré par l'AP-HP, de 1961 jusqu'au début des années 1990, au moment où ses fonctions médicales cessent progressivement pour aboutir à sa fermeture.

Photographies de l'hôpital Raymond-Poincaré

Les photographies décrites ici représentent l’hôpital entre 1950 et 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services spécialisés, ainsi que la prise en charge des patients dans les différents services. Les prises de vue ont été réalisée

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