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Description archivistique
Service central des Archives de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP)
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Photographies du Siège de l'AP-HP

Le siège historique de l'AP-HP est composé de 2 îlots de bâtiments couramment dénommés "Victoria" et "Saint-Martin", en raison de leur localisation (3-5 place de l'Hôtel de Ville / 1-5 avenue Victoria / 4-6 quai de Gesvres / 2-4 rue de la Tacherie pour le premier et 7-9 avenue Victoria / 2-4bis rue Saint-Martin / 8 quai de Gesvres / 1-3 rue de la Tacherie pour le deuxième), dans le 4e arrondissement de Paris. Ces locaux abritent les services de l'administration centrale de l'AP-HP depuis 1858 à Victoria et 1963 à Saint-Martin. L'ensemble de photographies décrites ici présente les bâtiments des îlots Victoria et Saint-Martin. On peut y voir principalement les façades et les accès des bâtiments, ainsi qu'une partie de l'aménagement intérieur.

Les prises de vue par le Centre de l'image ont été principalement réalisées dans les années 1970-1980, certaines à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies du Service Central des Ambulances (SCA)

La première station d'ambulances à Paris est installée en 1887 à l'hôpital Saint-Louis. Elle est destinée au transport des blessés sur la voie publique. En 1882 déjà, les "Ambulances de la ville de Paris" dépendant de la préfecture de la Seine, avaient été créées pour le transport des malades contagieux lors des épidémies. Transférées sous l'autorité du directeur général de l'Assistance publique en 1941, elles deviennent les « Ambulances des hôpitaux de Paris ». Le service est réparti sur 3 stations : Falguière dans le 15e arrondissement, Chaligny dans le 12e arrondissement et Caulincourt dans le 18e arrondissement. Chaque station autonome gère son personnel et ses ambulances.
Afin d'optimiser ce service, une centralisation des appels est opérée qui débouche sur la création en 1952 du Bureau central des ambulances (BCA) chargé d'enregistrer les demandes d'ambulance et de réguler l'ensemble des véhicules afin d'optimiser les trajets et diminuer la durée d'attente des patients. Les stations deviennent des lieux de rassemblement du personnel ambulancier ainsi que des garages pour les véhicules. Le BCA est situé à Charenton-le-Pont, près de la station de métro du même nom.
Les ambulances de l'Assistance publique assurent la totalité des transports, médicalisés ou non, jusqu'à la création du Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR) en 1972. Après cette date, elles poursuivent leur mission de transport des malades à leur demande bien que celle-ci diminue fortement du fait du développement du SMUR et des ambulances privées, avant de remonter dans les années 1980. En 1985, les stations des ambulances sont : Macdonald dans le 19e arrondissement, Chevaleret dans le 13e arrondissement et Charenton dans le 12e arrondissement.

Les photographies décrites ici représentent le Service central des ambulances dans les années 1960 à 2000 : différents types de véhicules et de matériels, personnel dans l'exercice de ses fonctions.
Quelques prises de vue ont été réalisées à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Vaugirard

Entre 1914 et 1918, l'ancien petit collège des jésuites de Vaugirard, dans le 15e arrondissement de Paris, est transformé en hôpital militaire franco-brésilien, où des chirurgiens brésiliens viennent soigner les blessés avec du matériel offert par leur pays. En 1920, la faculté de médecine de Paris, devenue propriétaire du domaine et des bâtiments, y installe une clinique chirurgicale qu'elle met à la disposition de l'Assistance publique par convention l'année suivante. L'établissement, nommé hôpital Vaugirard, ouvre le 4 novembre 1921. Son nouvel administrateur le destine à une vocation de clinique thérapeutique chirurgicale. Il compte alors 160 lits. En 1954, la convention de mise à disposition est renouvelée pour 30 ans. En 1960, on dénombre 192 lits.
En 1966, l'administration de l'Assistance publique décide son rattachement administratif au groupe hospitalier Necker-Enfants malades-Laennec et en 1985, devenue pleinement propriétaire, elle remet en cause cette union. Vaugirard doit modifier ses activités : les interventions chirurgicales sont désormais pratiquées à Laennec et l'hôpital renonce à son service de médecine. En 1986, il est en partie fermé et devient un centre de moyen et long séjour de 65 lits, rattaché à l'hôpital Boucicaut jusqu'en 1992. La construction du nouvel hôpital débute au cours du 1er semestre 1989 et s'achève fin 1991. En 1992, le nouvel hôpital Vaugirard devient un hôpital gérontologique. En 1999, il accole à son nom celui de Gabriel Pallez, en hommage à celui qui fut directeur général de l'AP-HP de 1969 à 1985.
La fermeture des hôpitaux Laennec et Boucicaut et l'ouverture de l'hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) entre 1998 et 2000 entrainent une nouvelle organisation des établissements de santé dans le secteur géographique, qui se traduit par la création du groupe des hôpitaux universitaires Paris-Ouest (HUPO), regroupant HEGP, Corentin-Celton et Vaugirard-Gabriel-Pallez. En 2016, ce dernier compte 291 lits et 11 places d'hôpital de jour.
Aujourd'hui, cet ensemble a rejoint le groupe AP-HP. Centre - Université de Paris, avec les hôpitaux Necker, Cochin, Broca et Hôtel-Dieu.

Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital dans les années 1990, à l’époque où il devient un centre de moyen et long séjour et un hôpital gériatrique. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, les images témoignent des différentes activités médicales de l'établissement. Quelques photographies datant des années 1930 et 1960 lorsque l’hôpital était principalement dédié à la chirurgie, viennent compléter cet ensemble. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital San Salvadour

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital principalement dans les années 1990 à 2002. On y voit les différents bâtiments et le parc ainsi que les activités de soin ou la vie de l'établissement.

Photographies de l'hôpital Saint-Lazare

L'hôpital Saint-Lazare se situe à l'emplacement de l'ancienne léproserie Saint-Ladre ou Saint-Lazare fondée au XIIe siècle par les frères hospitaliers du même nom. Cet établissement, voué au soin des lépreux, est confié dans la première moitié du XVIIe siècle à Vincent de Paul et à la congrégation de la Mission. L'établissement reçoit des prêtres venus se former à l'évangélisation des campagnes, des ecclésiastiques souhaitant faire retraite, mais aussi des aliénés et des délinquants. Il est à la fois maison religieuse, maison d'aliénés, maison d'arrêt et maison de correction. Transformé en prison à la Révolution, il revient au département de la Seine en avril 1811. L'ancien bâtiment, rasé vers 1824, est reconstruit par l'architecte Baltard. Il devient une infirmerie pour les femmes atteintes de maux vénériens : c'est l'Infirmerie spéciale créée en 1834. La maison de Saint-Lazare fonctionne comme lieu de traitement pour femmes jusqu'en 1955. Au regard de la nette diminution de la morbidité vénérienne, la préfecture de police de Paris, administratrice de l'hôpital, décide de céder une partie de ses lits à l'Assistance publique. En 1955, Saint-Lazare abrite au profit de l'hôpital Lariboisière un service de désencombrement de 240 lits.

Le 1er janvier 1961, la préfecture cesse d'administrer l'hôpital. L'intégralité des services dépend désormais de l'Assistance publique. Devenu membre du groupe hospitalier Lariboisière – Fernand-Widal – Saint-Lazare, l'hôpital possède une capacité d'hospitalisation de 276 lits en 1962, 115 en 1985 et 55 en 1998. À la fin de l'année 1998, le service hépato-gastro-entérologie est transféré à Lariboisière, tandis que les bâtiments sont restitués à la ville de Paris qui en est propriétaire.

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital et les différents services le composant lorsqu'il est entièrement administré par l'AP-HP, de 1961 jusqu'au début des années 1990, au moment où ses fonctions médicales cessent progressivement pour aboutir à sa fermeture.

Photographies de l'hôpital René-Muret-Bigottini

L’hôpital René-Muret est situé à Sevran, en Seine-Saint-Denis (93). Fondé en 1967, il porte le nom de René Muret, administrateur de l’Assistance publique, directeur de l’hôpital Saint-Louis.

L'arrêté ministériel du 20 août 1970 décide le rattachement de la maison de retraite Bigottini, fondée en 1903 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), à l'hôpital René-Muret. Les deux établissements bien que topographiquement séparés sont ainsi administrativement liés sous la dénomination d'hôpital René-Muret - Bigottini.

L’hôpital exerce une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement. Il offre aux patients un parcours complet en gériatrie avec des unités de court séjour gériatrique, géronto-psychiatrie, soins de suite et de réadaptation (SSR), soins de longue durée (SLD). Des SSR spécialisés proposent un suivi dans deux autres spécialités : addictologie et nutrition-obésité. Surtout connu pour son offre gériatrique, l’hôpital René-Muret dispose également d’une policlinique avec des consultations pluridisciplinaires, un plateau d’imagerie médicale conventionnelle ouverte sur la ville et un hôpital de jour. Une unité de médecine palliative entièrement rénovée, avec des lieux spécifiques et bien adaptés accompagne les patients qui le nécessitent dans le maintien ou l’amélioration de leur qualité de vie. Il constitue avec l’hôpital Avicenne de Bobigny, Jean-Verdier de Bondy, le groupe hospitalier AP-HP.Hôpitaux Universitaires Paris Seine-Saint-Denis (HUPSSD).

Les photographies décrites ici, représentent d'une part la construction de l'hôpital René-Muret à partir de 1966, son organisation spatiale et l'aménagement intérieur des services, ainsi que la prise en charge des patients et le personnel hospitalier dans le cadre de leurs activités, d'autre part les bâtiments de Bigottini.

Fondé à Sevran en Seine-Saint-Denis (93) en 1967, l’hôpital René-Muret emprunte son nom à un ancien administrateur de l’Assistance publique, directeur de l’hôpital Saint-Louis. En août 1970, on lui rattache la maison de retraite Bigottini, fondée en 1903 à Aulnay-sous-Bois (arrêté ministériel du 20 août 1970). Les deux établissements, bien que topographiquement séparés, sont désormais administrativement liés sous la dénomination d'hôpital René-Muret - Bigottini.

L’hôpital exerce une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement. Il offre aux patients un parcours complet en gériatrie avec des unités de court séjour, de géronto-psychiatrie, de soins de suite et de réadaptation (SSR) et de soins de longue durée (SLD). Des SSR spécialisés proposent en outre un suivi en addictologie et nutrition-obésité. Surtout connu pour son offre gériatrique, l’hôpital René-Muret dispose également d’une policlinique avec des consultations pluridisciplinaires, un plateau d’imagerie médicale conventionnelle ouverte sur la ville et un hôpital de jour. Une unité de médecine palliative entièrement rénovée, avec des lieux spécifiques et bien adaptés, accompagne les patients qui le nécessitent dans le maintien ou l’amélioration de leur qualité de vie. Depuis juillet 2019, René-Muret - Bigottini forme avec les hôpitaux Avicenne de Bobigny et Jean-Verdier de Bondy le groupe hospitalier AP-HP. Hôpitaux universitaires Paris Seine-Saint-Denis.

Les photographies décrites ici représentent d'une part la construction de l'hôpital René-Muret à partir de 1966, son organisation spatiale et l'aménagement intérieur des services, ainsi que la prise en charge des patients et le personnel hospitalier dans le cadre de ses activités, et d'autre part les bâtiments de Bigottini.

Photographies de l'hôpital Raymond-Poincaré

Les photographies décrites ici représentent l’hôpital entre 1950 et 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services spécialisés, ainsi que la prise en charge des patients dans les différents services. Les prises de vue ont été réalisée

Photographies de l'hôpital Paul-Brousse

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre 1965 et 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services spécialisés, ainsi que le personnel de l'hôpital dans le cadre de ses activités. Les prises de vue ont été réalisées pa

Photographies de l'hôpital Jean-Verdier

L'ensemble de photographies décrites dans cet instrument de recherche illustre la construction de l'hôpital dans les années 1970, l'évolution des bâtiments et du site, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que la prise en charge des patient

Photographies de l'hôpital Jean-Rostand

En 1976, l'Assistance publique est sollicitée par le ministre de la Santé, le préfet du Val-de-Marne et le maire d'Ivry-sur-Seine, pour reprendre le centre hospitalier privé d'Ivry (CHPI), construit en 1974 et mis en liquidation judiciaire. Baptisé hôpital Jean-Rostand, le nouvel hôpital public ouvre ses portes en 1978 dans les locaux du CHPI rénovés. Administré par le directeur de l'hôpital Charles-Foix, il possède alors trois secteurs d'activité indépendants : un service de chirurgie générale, une antenne de gynécologie-obstétrique et une antenne d'arithmologie cardiaque rattachée à la Pitié-Salpêtrière. L'hôpital Jean-Rostand a fermé ses portes en 2009.
Les photographies décrites ici représentent l'hôpital à la fin des années 1970 lorsqu'il est repris par l'AP-HP, jusque 1995. On y voit les différents bâtiments ainsi que les activités de soin proposées par l'établissement.

Photographies de l'hôpital Hérold

Ce versement est constitué de photographies en noir et blanc et en couleur de l'hôpital Hérold. Les photographies représentent principalement les bâtiments constituant l'hôpital à diverses périodes. S'y ajoutent quelques photographies de services, d'équip

Photographies de l'hôpital Fernand-Widal

Initialement installée dans les bâtiments de l'ancienne prison Saint-Lazare rue du Faubourg Saint-Denis. la Maison municipale de santé fondée par le Conseil général des hospices et hôpitaux civils de Paris en 1802 pour héberger et soigner des patients de condition modeste, déménage au 200 de la rue du Faubourg-Saint-Denis à l'occasion du percement des boulevards de Strasbourg et de Magenta sous Napoléon III. Construit par l'architecte Théodore Labrouste, l'établissement rouvre ses portes le 15 octobre 1858. Il abrite 340 lits en 1900 et atteint une capacité de 449 lits en 1948.

En 1959, l'administration de l'Assistance publique lui attribue le nom d'hôpital Fernand-Widal, en hommage au médecin découvreur du bacille de la dysenterie dont le laboratoire se trouvait dans l'hospice. Membre du groupe hospitalier Lariboisière - Fernand-Widal, l'hôpital abrite un centre antipoison, un service de médecine spécialisé en toxicologie et un service de gérontologie clinique. En 2020, à l'occasion de la réorganisation des hôpitaux de l'AP-HP, le groupe Lariboisière - Fernand-Widal intègre le GHU AP-HP. Nord Université de Paris, avec les hôpitaux Beaujon, Bichat - Claude-Bernard, Bretonneau, Louis-Mourier, Robert-Debré, Saint-Louis.

Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital Fernand-Widal dans les années 1970 à 1990. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, ces images témoignent des différentes activités médicales et sociales de l’établissement, particulièrement en gériatrie et toxicologie. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Corentin-Celton

L’hôpital Corentin-Celton situé à Issy-les-Moulineaux doit son origine à l'hospice parisien, « Les Petites maisons » fondé au XVIe siècle rue de la Chaise (7e arrondissement) qui reçoit les vieillards et les infirmes, les mendiants, les aliénés, les vénériens et les teigneux. Dès 1801, son administration relève du Conseil général des hôpitaux et hospices civils de Paris. L'établissement est transformé en maison de retraite destinée exclusivement aux couples âgés, aux veufs et veuves capables de payer une modeste pension, et prend le nom d'hospice des Ménages ou Petits-Ménages. En 1861, l'administration de l'Assistance publique décide la démolition des vieux bâtiments parisiens et la reconstruction d'un hospice dans un vaste enclos de sept hectares situé sur, le territoire de la commune d’Issy en 1863. Lors de la crue de la Seine de 1910, l'hôpital est fortement endommagé. En septembre 1914, les pensionnaires sont évacués et un service militaire médical les remplace. Grâce au matériel laissé par l'Armée, un service de chirurgie est créé en 1920, puis un service de médecine en 1932. L’hôpital est à nouveau agrandi en 1935. Par décret du 9 février 1945, il prend le nom de Corentin-Celton en mémoire de l’un de ses employés, fusillé par les Allemands au Mont-Valérien le 29 décembre 1943.

Les bâtiments de l'hôpital Corentin-Celton s’articulent autour d’une vaste cour d’honneur où se font face le pavillon d’entrée et la chapelle reliés aux longues ailes latérales par des galeries d’inspiration italienne. Aujourd’hui, l’hôpital Corentin-Celton a été entièrement rénové dans le cadre d’une restructuration de l’ensemble du quartier. Il est devenu une structure gériatrique unique en France et un des grands centres de rééducation fonctionnelle européens. Il accueille également un pôle psychiatrique de secteur et un pôle de psychiatrie universitaire. Depuis 2019, l'hôpital Corentin-Celton fait partie du groupe hospitalo-universitaire APHP. Centre - Université Paris Cité.

Les photographies décrites ici représentent l’hôpital entre 1952 et 2000. On y voit principalement les bâtiments et services spécialisés à l’époque où l’hospice des Ménages devient véritablement un hôpital, la prise en charge des patients dans les services ainsi que les activités du personnel hospitalier. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l’image dans les années 1950-1980, puis par les photographes de la direction de la communication.

Photographies de l'hôpital Claude-Bernard

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre 1904 et 1985, avant son transfert porte de SaintOuen. On y voit principalement les différents bâtiments et services ainsi que le matériel médical. Les prises de vue par le Centre de l'image ont

Photographies de l'hôpital Charles-Foix

Le nouvel hospice des Incurables est construit à Ivry-sur-Seine par l'architecte Théodore Labrouste de 1864 à 1869, sur des terrains acquis en 1851 par l'administration de l'Assistance publique. Il a vocation à accueillir les vieillards, infirmes et indigents atteints d'affections chroniques et incurables, hommes et femmes, qui étaient jadis logés dans l'hôpital des Incurables de la rue de Sèvres à Paris. Dès mars 1869, le transfert des patientes est opéré. Elles sont bientôt rejointes par les hommes, qui avaient quitté la rue de Sèvres au début du XIXe siècle pour s'installer dans l'ancien couvent des Récollets, rue du Faubourg-Saint-Martin à Paris. L'administration attribue à la nouvelle structure le nom d'hospice d'Ivry, entériné par arrêté préfectoral du 29 octobre 1887. Doté d'une capacité totale de 2 000 lits, il ne cesse de s'agrandir, grâce notamment à la création des fondations Chemin-Delatour et Dheur. En 1912 il abrite 2 400 lits.

Renommé hôpital Charles-Foix en 1975, en mémoire du neurologue et ancien chef de service d'Ivry dans les années 1920, il conserve sa vocation d'établissement de long séjour spécialisé en gérontologie. En 1978, il se voit rattacher l'hôpital Jean-Rostand, ancienne structure privée reconvertie. Aujourd'hui l'hôpital est membre du groupe hospitalier AP-HP. Sorbonne Université, avec les hôpitaux de la Pitié-Salpêtrière, Rothschild, Saint-Antoine, Trousseau-La Roche-Guyon et Tenon.

Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital Charles-Foix dans les années 1960 à 1990. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, ces images témoignent de la vocation gériatrique de l'établissement à travers ses différentes activités médicales et sociales. Elles sont complétées par des photographies plus anciennes datant des années 1910-1950, lorsque l'établissement n’était qu’un hospice. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Bretonneau

Les photographies décrites ici, représentent principalement l'hôpital Bretonneau dans les années 1990-2000 au moment de son changement de vocation et sa reconstruction pour accueillir les nouvelles activités gériatriques ainsi que le personnel hospitalier

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