- 1979.81
- Ensemble
- 1976-1978
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
ZAORSKI, Jean-Marc (1952-)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
ZAORSKI, Jean-Marc (1952-)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
ZIMBARDO, Xavier (1955-)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
cartes postales
MONIER, Albert (1915-1998)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
MONIER, Albert (1915-1998)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
LOUIS, Christian (1948-2001)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
DIEUZAIDE, Jean (1921-2003)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
DIEUZAIDE, Jean (1921-2003)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
BÉLÉGOU, Jean-Claude (1952-)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
BÉLÉGOU, Jean-Claude (1952-)
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
BARBONI, Max (1948-)
Photographies de vitraux avant ou après restauration
Fait partie de Médiathèque du patrimoine et de la photographie
Vitraux avant ou après restauration, tirages ayant permis la réalisation des photomontages. Fonds constitué par l'Administration des Monuments historiques.
Photographies de Reims : la cathédrale, la ville, les environs. Après guerre 1914-1918
Fait partie de Archives départementales de la Marne
Albums photographiques (en impression photomécanique) sur la destruction de la cathédrale de Reims (79 Fi 1), de la ville dans son ensemble (79 Fi 3) et de ses environs (79 Fi 3) pendant la Première Guerre mondiale. Les textes et légendes sont en français et en anglais.
Fait partie de Archives départementales de la Marne
Collection de tirages relatifs à Reims
Fait partie de Musée Nicéphore Niépce
Graphiste pour Pathé-Marconi, Marcel Arthaud a composé de tirages de presse de nombreux auteurs pour illustrer les livrets des disques Pathé Marconi.
Fait partie de Ecomusée Creusot Montceau
Lot de photographies réalisées pour l'exposition universelle de 1867 à Paris. Elles représentent les différentes installations des mines de Blanzy : puits de mines, lavage du charbon, ateliers, etc. ainsi que la ville de Montceau-les-Mines : cités ouvrières, port ou église notamment.
PETIT, Pierre (1831-1909)
Photographies de l'hôpital Vaugirard
Fait partie de Fonds iconographiques de l'AP-HP.
Entre 1914 et 1918, l'ancien petit collège des jésuites de Vaugirard, dans le 15e arrondissement de Paris, est transformé en hôpital militaire franco-brésilien, où des chirurgiens brésiliens viennent soigner les blessés avec du matériel offert par leur pays. En 1920, la faculté de médecine de Paris, devenue propriétaire du domaine et des bâtiments, y installe une clinique chirurgicale qu'elle met à la disposition de l'Assistance publique par convention l'année suivante. L'établissement, nommé hôpital Vaugirard, ouvre le 4 novembre 1921. Son nouvel administrateur le destine à une vocation de clinique thérapeutique chirurgicale. Il compte alors 160 lits. En 1954, la convention de mise à disposition est renouvelée pour 30 ans. En 1960, on dénombre 192 lits.
En 1966, l'administration de l'Assistance publique décide son rattachement administratif au groupe hospitalier Necker-Enfants malades-Laennec et en 1985, devenue pleinement propriétaire, elle remet en cause cette union. Vaugirard doit modifier ses activités : les interventions chirurgicales sont désormais pratiquées à Laennec et l'hôpital renonce à son service de médecine. En 1986, il est en partie fermé et devient un centre de moyen et long séjour de 65 lits, rattaché à l'hôpital Boucicaut jusqu'en 1992. La construction du nouvel hôpital débute au cours du 1er semestre 1989 et s'achève fin 1991. En 1992, le nouvel hôpital Vaugirard devient un hôpital gérontologique. En 1999, il accole à son nom celui de Gabriel Pallez, en hommage à celui qui fut directeur général de l'AP-HP de 1969 à 1985.
La fermeture des hôpitaux Laennec et Boucicaut et l'ouverture de l'hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) entre 1998 et 2000 entrainent une nouvelle organisation des établissements de santé dans le secteur géographique, qui se traduit par la création du groupe des hôpitaux universitaires Paris-Ouest (HUPO), regroupant HEGP, Corentin-Celton et Vaugirard-Gabriel-Pallez. En 2016, ce dernier compte 291 lits et 11 places d'hôpital de jour.
Aujourd'hui, cet ensemble a rejoint le groupe AP-HP. Centre - Université de Paris, avec les hôpitaux Necker, Cochin, Broca et Hôtel-Dieu.
Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital dans les années 1990, à l’époque où il devient un centre de moyen et long séjour et un hôpital gériatrique. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, les images témoignent des différentes activités médicales de l'établissement. Quelques photographies datant des années 1930 et 1960 lorsque l’hôpital était principalement dédié à la chirurgie, viennent compléter cet ensemble. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.
Photographies de l'hôpital San Salvadour
Fait partie de Fonds iconographiques de l'AP-HP.
Les photographies décrites ici représentent l'hôpital principalement dans les années 1990 à 2002. On y voit les différents bâtiments et le parc ainsi que les activités de soin ou la vie de l'établissement.
Photographies de l'hôpital Saint-Lazare
Fait partie de Fonds iconographiques de l'AP-HP.
L'hôpital Saint-Lazare se situe à l'emplacement de l'ancienne léproserie Saint-Ladre ou Saint-Lazare fondée au XIIe siècle par les frères hospitaliers du même nom. Cet établissement, voué au soin des lépreux, est confié dans la première moitié du XVIIe siècle à Vincent de Paul et à la congrégation de la Mission. L'établissement reçoit des prêtres venus se former à l'évangélisation des campagnes, des ecclésiastiques souhaitant faire retraite, mais aussi des aliénés et des délinquants. Il est à la fois maison religieuse, maison d'aliénés, maison d'arrêt et maison de correction. Transformé en prison à la Révolution, il revient au département de la Seine en avril 1811. L'ancien bâtiment, rasé vers 1824, est reconstruit par l'architecte Baltard. Il devient une infirmerie pour les femmes atteintes de maux vénériens : c'est l'Infirmerie spéciale créée en 1834. La maison de Saint-Lazare fonctionne comme lieu de traitement pour femmes jusqu'en 1955. Au regard de la nette diminution de la morbidité vénérienne, la préfecture de police de Paris, administratrice de l'hôpital, décide de céder une partie de ses lits à l'Assistance publique. En 1955, Saint-Lazare abrite au profit de l'hôpital Lariboisière un service de désencombrement de 240 lits.
Le 1er janvier 1961, la préfecture cesse d'administrer l'hôpital. L'intégralité des services dépend désormais de l'Assistance publique. Devenu membre du groupe hospitalier Lariboisière – Fernand-Widal – Saint-Lazare, l'hôpital possède une capacité d'hospitalisation de 276 lits en 1962, 115 en 1985 et 55 en 1998. À la fin de l'année 1998, le service hépato-gastro-entérologie est transféré à Lariboisière, tandis que les bâtiments sont restitués à la ville de Paris qui en est propriétaire.
Les photographies décrites ici représentent l'hôpital et les différents services le composant lorsqu'il est entièrement administré par l'AP-HP, de 1961 jusqu'au début des années 1990, au moment où ses fonctions médicales cessent progressivement pour aboutir à sa fermeture.