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Photographies de chantiers de construction et d'aménagement sur le territoire de la Seine-Saint-Denis par la société Henri Baranger & Cie. Active durant la seconde moitié du XXe siècle elle cesse son activité en 1991. Le fonds comporte environ 936 négatifs et tirages. Fonds acheté en 2010.

Tirages photographiques de vues aériennes issus de la collection "Notre département" réalisée par la société LAPIE.

Le fonds de la JOC de la Mayenne est entré aux Archives départementales en 2014. Il regroupe 6,20 mètres linéaires de documents relatifs à ses activités de 1960 à 2000 (539 J). En 2022, 5 valises d’environ 1500 diapositives sont venues compléter ce fonds et illustrer les évènements qu’elle organise elle-même et auxquels elle participe entre 1967 et 1994 : rassemblements locaux et nationaux (rassemblement à Paris en 1967, «Vil'avenir» en 1986), rencontres entre adolescents, conférences sur l’emploi, etc.

Fonds de l'atelier d'Alfred Boname, photographe à Besançon entre 1869 et 1909.

Ensemble de 602 négatifs sur plaque de verre provenant de l'atelier de photographie de Maurice Meusy (Studio Meusy) à Besançon.

Album de photographies relatives à la société de matériel agricole « La Méneteuse » à Sainte-Gemmes-le-Robert, spécialisée en fonderie et fabrication de matériel agricole.

Ensemble de photographies ayant trait au département de la Mayenne mais aussi à l'histoire de France.

Ensemble de photographies ayant trait au département de la Mayenne mais aussi à l'histoire de France.

Photographies des usines Worthington du Bourget et de Nantes dite « des Batignolles » spécialisées dans la fabrication de pompes et de réchauffeurs. Le fonds est constitué de 91 négatifs sur plaques de verre. Fonds donné en 2014.

Ce fonds rassemble les négatifs commandés, acquis ou produits par l'Administration des Monuments historiques entre la "Mission héliographique" de 1851 et 1951. Certains proviennent également du CRMH. Il couvre le patrimoine immobilier protégé à ces dates, dont les vitraux, et des restaurations en particulier après la Première guerre mondiale. On y retrouve des images de nombreux photographes d'architecture - parmi lesquels on peut citer Eugène Atget (1857-1827) , Édouard Baldus, Gustave le Gray (1820-1884), Henri Le Secq (1818-1882), Austin dit Auguste Mestral (1812-1884), Médéric Mieusement (1840-1905) - ainsi que d'érudits ou amateurs - tel Camille Enlart (1862-1927) et Félix Martin-Sabon (1846-1933). 8 calotypes sont conservés au fort de Saint-Cyr, et 245 calotypes de la Mission héliographique, ainsi que 27 sur les inondations Rhône et 5 autres sont déposés au musée d'Orsay.

Ce fonds rassemble des négatifs ou autres matrices commandés, acquis ou produits par l'Administration des Monuments historiques entre 1936, date à laquelle l'usage de négatifs en bande commande un seconde mode de cotation, et 1992, période à laquelle les commandes de l'administration centrale se raréfient, alors que les CRMH en DRAC effectuent une couverture de leur territoire. Il couvre le patrimoine immobilier protégé à ces dates, dont des vitraux, des restaurations et des objets classés de 1851 à 1979.

Photographies et cartes postales relatives aux inondations dans les Pyrénées-Orientales en octobre 1940, « l’aiguat ».

Plaques aquarellées en noir et blanc et à vues stéréoscopiques. Inventaire réalisé en 2001 à l'occasion de la mise en boîtes de conservation des plaques jusque là conservées dans des boîtes métalliques rouillées et des boîtes cartonnées d'origine. Les plaques sont de dimension 170 x 85 mm et présentent une double vue de 70 x 70 mm.

Photographies provenant de divers organes de presse disparus ou interdits à la Libération. Le fonds offre un éclairage sur l'actualité internationale, nationale et locale de la première moitié du XXe siècle. Ces documents complètent un ensemble plus vaste conservé par le Musée de la Résistance nationale (MRN). Il est composé d'environ 32 000 négatifs sur plaques de verre et négatifs souples. Fonds déposé en 2006.

Photographies, dont certaines d’Auguste Chauvin, représentant le village martyr de Valmanya et le littoral roussillonnais dans l’immédiat après-guerre, notamment les vestiges des ouvrages de défense allemands.

Né à Dole en 1858, élève aux Jésuite du Mont-Roland, Pierre de Truchis devient élève de l'école des Beaux-Arts de Dijon, puis de celle de Paris comme élève de Gérôme. Entre voyages et expositions, il partage son atelier avec Courtois de la Haute-Saône. Vers 1885, il commence à se consacrer exclusivement à l'archéologie et plus spécialement à l'archéologie médiévale bourguignonne. Collection d'imprimés, de documents manuscrits et de photographies au sujet de l'archéologie médiévale en Bourgogne.

Stéréotypes du front de Champagne, 1915