Affichage de 4265 résultats

Ce fonds a été donné aux Archives départementales du Jura en 2006 par Martine Bellague et Jean-Marie Gallois, de Salins.

Ce fonds a été donné aux Archives départementales du Jura en 2006 par Martine Bellague et Jean-Marie Gallois, de Salins. L'auteur des clichés n'a pu être identifié.

Le don du fonds Coutemoine a été effectués en 2019 par la famille Rameaux, arrière-petits-neveux de la photographe. Ils avaient auparavant redécouverts les clichés, qui étaient conservés dans une vieille maison de famille, au grenier dans une grosse malle en bois. Le fonds Coutemoine comprend des plaques de verre qui ont été réalisées par deux autres photographes : Jean-Baptiste Ricklin, photographe à Belfort puis à Châlon-sur-Saône et Elie-Xavier Mazo, fabricant de lanternes de projection et éditeur de plaques photographiques à Paris.

négatifs, planches contact, fichiers numériques, tirages de lecture et d'exposition, justificatifs de publication

À Écuisses, en 1860, Jean-Marie Perrusson se lance dans l’industrie céramique. Une première briqueterie voit le jour en 1860, puis une tuilerie en 1862 sur la commune d'Ecuisses, le long du canal du centre. L’ascension sociale des Perrusson est rapide et entre 1864 et 1870, ils accèdent au rang de notables. La famille se fait alors construire une villa, près de l’usine, du canal du Centre et de la voie ferrée. Ce fonds est principalement constitué de photographies des différents membres de la famille Perrusson.

En 1968, Paul Dalliance est ouvrier à la SFAC (société des Forges et ateliers du Creusot). Il est monteur-électricien sur les locomotives électriques. Il est également membre du photo-club du Creusot. En mai et juin 1968, pendant les grèves et occupations de la SFAC, il réalise des clichés des manifestations, des meetings, ainsi que des différents lieux occupés par les ouvriers.

Photographies concernant des mouvements syndicaux de l'éducation nationale (Mutuelle générale de l'éducation nationale - MGEN, Pupille des écoles publiques, Comité Départemental d'action Laïque - CDAL). Beaucoup de photographies comportent au verso des in

En tant qu'huissier de justice, Me Paradon finissait ses pellicules en photographiant les rues de Châlons-en-Champagne.

négatifs, planches contact, tirages, justificatifs de publication

négatifs, planches contact, tirages de lecture et d'exposition

Le fonds référencé MNN 1975.149 comprend l'ensemble des pièces collectées autour de la photographie et de son invention par la Société d'Histoire et d'Archéologie de Chalon-sur-Saône et le musée Vivant Denon de Chalon-sur-Saône, dès après le décès de Nicé

Michel Paulin a tenu un studio de photographie aux Pavillons-sous-Bois. Le fonds illustre l'actualité municipale. Il est constitué de 72 524 négatifs et tirages. Fonds déposé en 2006.

précinéma (lanternes magiques), albums, vues stéréoscopiques, négatifs verre, etc.

Ce fonds est constitué de différents ensembles de photographies (négatifs, planches-contacts, tirages photographiques) et d'éléments de documentation du photographe Michel Delluc concernant des performances et spectacles de danse en France de 1965 à 1971 notamment des artistes d'origine latino-américaines comme Graziella Martinez, Sonia Sanoja, Arlet Bon ou encore Jérome Savary.
Certains tirages – colorisés – sont la trace d'une collaboration photographique à la scénographie des performances de Graziella Martinez.

Michel Delluc a également réalisé des reportages photographiques auprès de pionnières de la danse contemporaine telles que Jacqueline Robinson, Karin Waehner, Laura Sheleen, Françoise et Dominique Dupuy ou de la danse jazz comme Reney Deshauteurs ou Christiane de Rougemont. Il a aussi suivi des grandes compagnies de ballet moderne comme celles de Maurice Béjart ou Roland Petit.

Photographies de Michel Chassat sur les thèmes suivants : enfants à l'école ou au sport, élèves en lycée professionnel, famille et travail. Le fonds est constitué de 9 tirages. Fonds acheté en 1998.

Diapositives couleurs de linteaux gravés et de paysages de Cerdagne française et espagnole. Comprend aussi des photographies de ferrure, des dessins, etc.

Le mouvement social de la fin du 19e siècle, a débuté au Creusot par une grève en mai 1899. En septembre-octobre, le mouvement reprendra en se durcissant. Il ne sera jugulé qu’avec l’arbitrage rendu par Waldeck-Rousseau, président du Conseil. Suite à l’organisation du mouvement syndical, on verra surgir un nouveau mouvement de grève en juillet 1900, qui se soldera par un relatif échec, et surtout un important exode de la population ouvrière du Creusot. Ce seront les dernières “grandes grèves” qui secoueront Le Creusot pendant sa période “schneidérienne”.