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Photographies de l'hôpital René-Muret-Bigottini

L’hôpital René-Muret est situé à Sevran, en Seine-Saint-Denis (93). Fondé en 1967, il porte le nom de René Muret, administrateur de l’Assistance publique, directeur de l’hôpital Saint-Louis.

L'arrêté ministériel du 20 août 1970 décide le rattachement de la maison de retraite Bigottini, fondée en 1903 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), à l'hôpital René-Muret. Les deux établissements bien que topographiquement séparés sont ainsi administrativement liés sous la dénomination d'hôpital René-Muret - Bigottini.

L’hôpital exerce une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement. Il offre aux patients un parcours complet en gériatrie avec des unités de court séjour gériatrique, géronto-psychiatrie, soins de suite et de réadaptation (SSR), soins de longue durée (SLD). Des SSR spécialisés proposent un suivi dans deux autres spécialités : addictologie et nutrition-obésité. Surtout connu pour son offre gériatrique, l’hôpital René-Muret dispose également d’une policlinique avec des consultations pluridisciplinaires, un plateau d’imagerie médicale conventionnelle ouverte sur la ville et un hôpital de jour. Une unité de médecine palliative entièrement rénovée, avec des lieux spécifiques et bien adaptés accompagne les patients qui le nécessitent dans le maintien ou l’amélioration de leur qualité de vie. Il constitue avec l’hôpital Avicenne de Bobigny, Jean-Verdier de Bondy, le groupe hospitalier AP-HP.Hôpitaux Universitaires Paris Seine-Saint-Denis (HUPSSD).

Les photographies décrites ici, représentent d'une part la construction de l'hôpital René-Muret à partir de 1966, son organisation spatiale et l'aménagement intérieur des services, ainsi que la prise en charge des patients et le personnel hospitalier dans le cadre de leurs activités, d'autre part les bâtiments de Bigottini.

Fondé à Sevran en Seine-Saint-Denis (93) en 1967, l’hôpital René-Muret emprunte son nom à un ancien administrateur de l’Assistance publique, directeur de l’hôpital Saint-Louis. En août 1970, on lui rattache la maison de retraite Bigottini, fondée en 1903 à Aulnay-sous-Bois (arrêté ministériel du 20 août 1970). Les deux établissements, bien que topographiquement séparés, sont désormais administrativement liés sous la dénomination d'hôpital René-Muret - Bigottini.

L’hôpital exerce une triple mission de soins, de recherche et d’enseignement. Il offre aux patients un parcours complet en gériatrie avec des unités de court séjour, de géronto-psychiatrie, de soins de suite et de réadaptation (SSR) et de soins de longue durée (SLD). Des SSR spécialisés proposent en outre un suivi en addictologie et nutrition-obésité. Surtout connu pour son offre gériatrique, l’hôpital René-Muret dispose également d’une policlinique avec des consultations pluridisciplinaires, un plateau d’imagerie médicale conventionnelle ouverte sur la ville et un hôpital de jour. Une unité de médecine palliative entièrement rénovée, avec des lieux spécifiques et bien adaptés, accompagne les patients qui le nécessitent dans le maintien ou l’amélioration de leur qualité de vie. Depuis juillet 2019, René-Muret - Bigottini forme avec les hôpitaux Avicenne de Bobigny et Jean-Verdier de Bondy le groupe hospitalier AP-HP. Hôpitaux universitaires Paris Seine-Saint-Denis.

Les photographies décrites ici représentent d'une part la construction de l'hôpital René-Muret à partir de 1966, son organisation spatiale et l'aménagement intérieur des services, ainsi que la prise en charge des patients et le personnel hospitalier dans le cadre de ses activités, et d'autre part les bâtiments de Bigottini.

Photographies de l'hôpital Raymond-Poincaré

Les photographies décrites ici représentent l’hôpital entre 1950 et 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services spécialisés, ainsi que la prise en charge des patients dans les différents services. Les prises de vue ont été réalisée

Photographies de l'hôpital Paul-Brousse

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre 1965 et 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services spécialisés, ainsi que le personnel de l'hôpital dans le cadre de ses activités. Les prises de vue ont été réalisées pa

Photographies de l'hôpital Jean-Verdier

L'ensemble de photographies décrites dans cet instrument de recherche illustre la construction de l'hôpital dans les années 1970, l'évolution des bâtiments et du site, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que la prise en charge des patient

Photographies de l'hôpital Jean-Rostand

En 1976, l'Assistance publique est sollicitée par le ministre de la Santé, le préfet du Val-de-Marne et le maire d'Ivry-sur-Seine, pour reprendre le centre hospitalier privé d'Ivry (CHPI), construit en 1974 et mis en liquidation judiciaire. Baptisé hôpital Jean-Rostand, le nouvel hôpital public ouvre ses portes en 1978 dans les locaux du CHPI rénovés. Administré par le directeur de l'hôpital Charles-Foix, il possède alors trois secteurs d'activité indépendants : un service de chirurgie générale, une antenne de gynécologie-obstétrique et une antenne d'arithmologie cardiaque rattachée à la Pitié-Salpêtrière. L'hôpital Jean-Rostand a fermé ses portes en 2009.
Les photographies décrites ici représentent l'hôpital à la fin des années 1970 lorsqu'il est repris par l'AP-HP, jusque 1995. On y voit les différents bâtiments ainsi que les activités de soin proposées par l'établissement.

Photographies de l'hôpital Hérold

Ce versement est constitué de photographies en noir et blanc et en couleur de l'hôpital Hérold. Les photographies représentent principalement les bâtiments constituant l'hôpital à diverses périodes. S'y ajoutent quelques photographies de services, d'équip

Photographies de l'hôpital Fernand-Widal

Initialement installée dans les bâtiments de l'ancienne prison Saint-Lazare rue du Faubourg Saint-Denis. la Maison municipale de santé fondée par le Conseil général des hospices et hôpitaux civils de Paris en 1802 pour héberger et soigner des patients de condition modeste, déménage au 200 de la rue du Faubourg-Saint-Denis à l'occasion du percement des boulevards de Strasbourg et de Magenta sous Napoléon III. Construit par l'architecte Théodore Labrouste, l'établissement rouvre ses portes le 15 octobre 1858. Il abrite 340 lits en 1900 et atteint une capacité de 449 lits en 1948.

En 1959, l'administration de l'Assistance publique lui attribue le nom d'hôpital Fernand-Widal, en hommage au médecin découvreur du bacille de la dysenterie dont le laboratoire se trouvait dans l'hospice. Membre du groupe hospitalier Lariboisière - Fernand-Widal, l'hôpital abrite un centre antipoison, un service de médecine spécialisé en toxicologie et un service de gérontologie clinique. En 2020, à l'occasion de la réorganisation des hôpitaux de l'AP-HP, le groupe Lariboisière - Fernand-Widal intègre le GHU AP-HP. Nord Université de Paris, avec les hôpitaux Beaujon, Bichat - Claude-Bernard, Bretonneau, Louis-Mourier, Robert-Debré, Saint-Louis.

Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital Fernand-Widal dans les années 1970 à 1990. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, ces images témoignent des différentes activités médicales et sociales de l’établissement, particulièrement en gériatrie et toxicologie. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Corentin-Celton

L’hôpital Corentin-Celton situé à Issy-les-Moulineaux doit son origine à l'hospice parisien, « Les Petites maisons » fondé au XVIe siècle rue de la Chaise (7e arrondissement) qui reçoit les vieillards et les infirmes, les mendiants, les aliénés, les vénériens et les teigneux. Dès 1801, son administration relève du Conseil général des hôpitaux et hospices civils de Paris. L'établissement est transformé en maison de retraite destinée exclusivement aux couples âgés, aux veufs et veuves capables de payer une modeste pension, et prend le nom d'hospice des Ménages ou Petits-Ménages. En 1861, l'administration de l'Assistance publique décide la démolition des vieux bâtiments parisiens et la reconstruction d'un hospice dans un vaste enclos de sept hectares situé sur, le territoire de la commune d’Issy en 1863. Lors de la crue de la Seine de 1910, l'hôpital est fortement endommagé. En septembre 1914, les pensionnaires sont évacués et un service militaire médical les remplace. Grâce au matériel laissé par l'Armée, un service de chirurgie est créé en 1920, puis un service de médecine en 1932. L’hôpital est à nouveau agrandi en 1935. Par décret du 9 février 1945, il prend le nom de Corentin-Celton en mémoire de l’un de ses employés, fusillé par les Allemands au Mont-Valérien le 29 décembre 1943.

Les bâtiments de l'hôpital Corentin-Celton s’articulent autour d’une vaste cour d’honneur où se font face le pavillon d’entrée et la chapelle reliés aux longues ailes latérales par des galeries d’inspiration italienne. Aujourd’hui, l’hôpital Corentin-Celton a été entièrement rénové dans le cadre d’une restructuration de l’ensemble du quartier. Il est devenu une structure gériatrique unique en France et un des grands centres de rééducation fonctionnelle européens. Il accueille également un pôle psychiatrique de secteur et un pôle de psychiatrie universitaire. Depuis 2019, l'hôpital Corentin-Celton fait partie du groupe hospitalo-universitaire APHP. Centre - Université Paris Cité.

Les photographies décrites ici représentent l’hôpital entre 1952 et 2000. On y voit principalement les bâtiments et services spécialisés à l’époque où l’hospice des Ménages devient véritablement un hôpital, la prise en charge des patients dans les services ainsi que les activités du personnel hospitalier. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l’image dans les années 1950-1980, puis par les photographes de la direction de la communication.

Photographies de l'hôpital Claude-Bernard

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre 1904 et 1985, avant son transfert porte de SaintOuen. On y voit principalement les différents bâtiments et services ainsi que le matériel médical. Les prises de vue par le Centre de l'image ont

Photographies de l'hôpital Charles-Foix

Le nouvel hospice des Incurables est construit à Ivry-sur-Seine par l'architecte Théodore Labrouste de 1864 à 1869, sur des terrains acquis en 1851 par l'administration de l'Assistance publique. Il a vocation à accueillir les vieillards, infirmes et indigents atteints d'affections chroniques et incurables, hommes et femmes, qui étaient jadis logés dans l'hôpital des Incurables de la rue de Sèvres à Paris. Dès mars 1869, le transfert des patientes est opéré. Elles sont bientôt rejointes par les hommes, qui avaient quitté la rue de Sèvres au début du XIXe siècle pour s'installer dans l'ancien couvent des Récollets, rue du Faubourg-Saint-Martin à Paris. L'administration attribue à la nouvelle structure le nom d'hospice d'Ivry, entériné par arrêté préfectoral du 29 octobre 1887. Doté d'une capacité totale de 2 000 lits, il ne cesse de s'agrandir, grâce notamment à la création des fondations Chemin-Delatour et Dheur. En 1912 il abrite 2 400 lits.

Renommé hôpital Charles-Foix en 1975, en mémoire du neurologue et ancien chef de service d'Ivry dans les années 1920, il conserve sa vocation d'établissement de long séjour spécialisé en gérontologie. En 1978, il se voit rattacher l'hôpital Jean-Rostand, ancienne structure privée reconvertie. Aujourd'hui l'hôpital est membre du groupe hospitalier AP-HP. Sorbonne Université, avec les hôpitaux de la Pitié-Salpêtrière, Rothschild, Saint-Antoine, Trousseau-La Roche-Guyon et Tenon.

Les photographies décrites ici représentent principalement l'hôpital Charles-Foix dans les années 1960 à 1990. En plus de représenter les bâtiments et leur aménagement intérieur, ces images témoignent de la vocation gériatrique de l'établissement à travers ses différentes activités médicales et sociales. Elles sont complétées par des photographies plus anciennes datant des années 1910-1950, lorsque l'établissement n’était qu’un hospice. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réalisées dans les années 1960-2000, certaines à partir de documents plus anciens. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Photographies de l'hôpital Bretonneau

Les photographies décrites ici, représentent principalement l'hôpital Bretonneau dans les années 1990-2000 au moment de son changement de vocation et sa reconstruction pour accueillir les nouvelles activités gériatriques ainsi que le personnel hospitalier

Photographies de l'hôpital Bichat

Les photographies décrites ici représentent l'hôpital entre la fin des années 1890 au moment de sa
construction et le début des années 2000. On y voit principalement les différents bâtiments et services
ainsi que le matériel médical. Les prises de vue ont

Photographies de l'hôpital Beaujon

Cet instrument de recherche regroupe les photographies du premier hôpital Beaujon situé à Paris (1884-1937), transféré à compter de 1935 dans de nouveaux locaux construits à Clichy (Hauts-de-Seine). On y voit principalement les différents bâtiments et ser

Photographies de l'hôpital Avicenne

Cet ensemble de photographies représente l'hôpital de 1935 à 1996. On y voit principalement les différents bâtiments et services, ainsi que le matériel médical utilisé. Les prises de vue ont été réalisées par le Centre de l'image dans les années 1960-1980

Photographies de l'hôpital Antoine-Béclère

Dans l'ensemble de photographies décrites dans cet instrument de recherche, on peut voir les bâtiments, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que la prise en charge des patients dans les différents services de l'établissement. Les prises de

Photographies de l'hôpital Ambroise-Paré

Les photographies décrites dans cet instrument de recherche montrent les bâtiments, l'aménagement intérieur, l'équipement matériel ainsi que les différentes activités hospitalières de l'établissement. Les prises de vue par le Centre de l'image ont été réa

Photographies de l'hôpital Albert-Chenevier

L'édification par l'administration de l'Assistance publique du futur hôpital pour malades chroniques de Créteil commence en 1953 et s'achève en 1959. Dès juillet 1954, il reçoit par décret du ministère chargé de la santé publique le nom d'hôpital Albert-Chenevier, en mémoire de l'ancien secrétaire général de l'Assistance publique. Initialement conçu pour soigner les patients parisiens nécessitant de moyens et longs séjours hospitaliers sans thérapeutique d'urgence, il change en 1962 de destination en ouvrant successivement des services de rééducation, puis de psychiatrie en 1969.
Rattaché au groupe hospitalier Henri-Mondor - Albert-Chenevier en 1970, l'hôpital retrouve son autonomie en 1990 puis réintègre de nouveau le groupe des Hôpitaux universitaires Henri-Mondor. Depuis 2020, il fait partie du groupe hospitalier AP-HP. Hôpitaux universitaires Henri-Mondor (HUHM) qui regroupe cinq établissements : les hôpitaux Henri-Mondor, Albert-Chenevier et Émile-Roux dans le département du Val-de-Marne, Dupuytren et Georges-Clemenceau dans celui de l’Essonne. L'hôpital Albert-Chenevier propose une offre de soins de suite et de rééducation spécialisée dans des disciplines complémentaires de celles de l'hôpital Henri-Mondor (rééducation neurologique, neuro-locomotrice, digestive, cardiaque, gériatrique). Il assure une prise en charge psychiatrique de secteur et dispose d'une expertise sur certaines pathologies : bipolarité, dépressions résistantes, schizophrénie et autisme de haut niveau. Il propose également une offre de médecine gériatrique, intégrée dans la filière gériatrique du Val-de-Marne. Il possède aussi un centre d'odontologie pour adultes et une unité de soins de longue durée à orientation neurologique.
Les photographies décrites ici représentent principalement les bâtiments et leur aménagement intérieur, ainsi que quelques activités de l'hôpital (rééducation physique et consultation du service de tabacologie) depuis la construction de l'hôpital jusque dans les années 2000.

Photographies de l'École de chirurgie

Cet ensemble de photographies représente l'École de chirurgie de l'AP-HP située rue du Fer-à-Moulin (Paris 5e). Les photographies montrent principalement les bâtiments et l'équipement de l'établissement. Elles sont complétées par quelques photographies de

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