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Lot de photographies du Creusot de la deuxième moitié du XIXè siècle. Certaines de ces vues ont été réalisées par le photographe Jean-Baptiste Larcher, beaucoup sont anonymes. Elles représentent les installations industrielles des établissements Schneider : usines dans la plaine des Riaux, bâtiment de la direction, puits de mine, ainsi que différentes quartiers de la ville et cités ouvrières.

Collection de tirages relatifs aux communes marnaises hors Châlons-en-Champagne et Reims. Le classement est topographique.

Les photographies décrites ici représentent les blanchisseries Mac Donald et de la Salpêtrière, auxquelles s'ajoutent quelques images de la blanchisserie de Charenton-le-Pont. On peut y voir les bâtiments, les équipements et matériels et la chaîne de trai

La première station d'ambulances à Paris est installée en 1887 à l'hôpital Saint-Louis. Elle est destinée au transport des blessés sur la voie publique. En 1882 déjà, les "Ambulances de la ville de Paris" dépendant de la préfecture de la Seine, avaient été créées pour le transport des malades contagieux lors des épidémies. Transférées sous l'autorité du directeur général de l'Assistance publique en 1941, elles deviennent les « Ambulances des hôpitaux de Paris ». Le service est réparti sur 3 stations : Falguière dans le 15e arrondissement, Chaligny dans le 12e arrondissement et Caulincourt dans le 18e arrondissement. Chaque station autonome gère son personnel et ses ambulances.
Afin d'optimiser ce service, une centralisation des appels est opérée qui débouche sur la création en 1952 du Bureau central des ambulances (BCA) chargé d'enregistrer les demandes d'ambulance et de réguler l'ensemble des véhicules afin d'optimiser les trajets et diminuer la durée d'attente des patients. Les stations deviennent des lieux de rassemblement du personnel ambulancier ainsi que des garages pour les véhicules. Le BCA est situé à Charenton-le-Pont, près de la station de métro du même nom.
Les ambulances de l'Assistance publique assurent la totalité des transports, médicalisés ou non, jusqu'à la création du Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR) en 1972. Après cette date, elles poursuivent leur mission de transport des malades à leur demande bien que celle-ci diminue fortement du fait du développement du SMUR et des ambulances privées, avant de remonter dans les années 1980. En 1985, les stations des ambulances sont : Macdonald dans le 19e arrondissement, Chevaleret dans le 13e arrondissement et Charenton dans le 12e arrondissement.

Les photographies décrites ici représentent le Service central des ambulances dans les années 1960 à 2000 : différents types de véhicules et de matériels, personnel dans l'exercice de ses fonctions.
Quelques prises de vue ont été réalisées à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Cet ensemble est constitué de photographies de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul, du service des enfants assistés situé sur le site de l'hôpital et de ses annexes dans le département des Hauts-de-Seine.
Elles représentent principalement les bâtiments const

Le siège historique de l'AP-HP est composé de 2 îlots de bâtiments couramment dénommés "Victoria" et "Saint-Martin", en raison de leur localisation (3-5 place de l'Hôtel de Ville / 1-5 avenue Victoria / 4-6 quai de Gesvres / 2-4 rue de la Tacherie pour le premier et 7-9 avenue Victoria / 2-4bis rue Saint-Martin / 8 quai de Gesvres / 1-3 rue de la Tacherie pour le deuxième), dans le 4e arrondissement de Paris. Ces locaux abritent les services de l'administration centrale de l'AP-HP depuis 1858 à Victoria et 1963 à Saint-Martin. L'ensemble de photographies décrites ici présente les bâtiments des îlots Victoria et Saint-Martin. On peut y voir principalement les façades et les accès des bâtiments, ainsi qu'une partie de l'aménagement intérieur.

Les prises de vue par le Centre de l'image ont été principalement réalisées dans les années 1970-1980, certaines à partir d'un document plus ancien. Lorsque la date du document d'origine est connue, elle a été indiquée dans la description de l'image.

Ensemble de photographies dont les thèmes et les localisation géographiques sont très variées : bord de mer, vues de Laval, photographies militaires dont période de la première guerre mondiale à Acq (Pas-de-Calais) et un régiment colonial en Afrique, etc.

Séries de 121 photographies d’Adrien Pierre Marion (19..) prises durant ses quatre voyages à Madagascar accompagnées de notes de voyages, intitulées respectivement : « Madagascar Sud, Notes et impressions de Voyage. Août- Septembre 1955. », « Retour au sud. Notes prises au cours d’un deuxième voyage – camping dans le Sud de Madagascar : Mai-Juin 1961. », « Vers le pays des baobabs. Notes de voyage dans le Sud-ouest de Madagascar. Juillet-Août 1962 » et « Vers les terres et les mers du Sud-est » (1964). Les quatre séries sont accompagnées d’ « index aux photographies » permettant l’identification des vues. Elles illustrent le trajet du voyageur, les paysages du sud de l’île et les différentes tribus rencontrées.

137 photographies du voyage d’Adrien Pierre Marion (19..) au Kenya et au Tanganyika entre novembre et décembre 1951. Elles illustrent le trajet du voyageur, les différents paysages aperçus, les villes africaines visitées et les populations rencontrées.

Photographies représentant une cavalcade à Laval.

Monuments français divers. Images signées Colette Di Matteo, Formigé, Jean Trouvelot (1897-1985), Albert Chauvel (1895-1974), Salmon, Duthoit, Bellack, Charmet, Revoil, Moulin, Rémy.

Photographies entrées par voie extraordinaire au service de la bibliothèque et des archives des Monuments historiques

Cet ensemble iconographique présente des documents émanant de différents membres de la famille Aguignier. D'abord des cartes postales adressées ou reçues avant-guerre par les enfants Aguignier à l'époque de leur service militaire ou leur période de formation (Fernande, Marius et Pierre Théodore). On trouve aussi une série de photographies de la construction du Métropolitain en 1908, période où Pierre effectue ses études d'ingénieur. La période de la guerre est la mieux couverte avec différentes séries de photographies probablement adressées ou recueillies par Pierre Théodore : photographies émanant de Marius Aguignier, mort sur le front en 1915, photographies émanant de Pierre Théodore lui-même, dont un certain nombre fut effectué par son ami Octave Longuet. Elles présentent différents secteurs géographiques fréquentés par les deux artilleurs durant les campagnes militaires (Brest, Champagne...). Une autre série présente les vues des tombes des défunts de la famille lors de pèlerinages sur le front en 1919 (Marcel Malécot, Marius Aguignier...). Enfin une dernière série dévoile des vues de la région d'Autun et du Creusot, probables séjours de l'ingénieur Aguignier. Reste qu'un certain nombre de clichés ne sont ni identifiés ni documentés.

81 photographies ayant appartenu à Lucien Laboureau (1883-1966), prises durant la Première Guerre Mondiale à l’hôpital temporaire du lycée Carnot de Dijon et sur le front. Elles représentent les soldats convalescents, le personnel médical de l’hôpital Carnot et d’un hôpital militaire. Lucien Laboureau et son frère Henri Laboureau sont photographiés alors qu’ils sont mobilisés. La collection comprends également 36 cartes postales de la Grande Guerre.

Passionné de photographie, collectionneur, soucieux de pédagogie et de transmission, Bernard Lefebvre accumule avec l’aide de Marcel Bovis (1904-1997) une collection pléthorique d’appareils et d’accessoires uniques ou rares et des images de tous types : p

chambre à sténopé et 3 photographies